Depuis le début de sa carrière, Elisabeth Borne a alterné les postes au sein de la société civile et en politique. Elle a notamment été directrice de la stratégie à la SNCF et PDG de la RATP de 2015 à 2017. Mais elle a aussi été conseillère auprès de Jack Lang, de Lionel Jospin puis directrice de cabinet de Ségolène Royal.
En 2017, elle est entrée au gouvernement comme ministre en charge des Transports, avant de remplacer François de Rugy à l’écologie puis d’arriver au ministère du Travail.
Comme plusieurs ministres de la macronie, elle a rejoint, en 2020, le parti de centre-gauche Territoire de Progrès.
Nommée Première ministre au tout début du second quinquennat d’Emmanuel Macron, elle est confirmée à ce poste après des législatives ratées pour la majorité
Né le 15 avril 1969 à Neuilly-sur-Seine, Bruno Le Maire est multi-diplômé : École normale supérieure, sciences-Po Paris, ENA , etc. Sa carrière politique a débuté par un poste au sein de la direction des affaires stratégiques du ministère des Affaires étrangères de Dominique de Villepin, en 1998.
Il a été élu député pour la première fois en 2007, sous les couleurs de l’UMP. Ministre de l’Agriculture sous Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire a ensuite été largement battu à la primaire de la droite et du centre de 2016.
Nommé au gouvernement par Emmanuel Macron en mai 2017, il a rejoint le parti présidentiel quatre mois plus tard.

Déjà militant pour le RPR alors qu’il était encore étudiant, Gérald Darmanin s’est lancé dans la politique dès qu’il a obtenu son diplôme de Sciences Politiques. Il a alterné les postes et mandats nationaux – directeur de cabinet de David Douillet, député du Nord – et locaux – maire de Tourcoing, conseiller régional des Hauts-de-France.
Son militantisme l’a toujours poussé à droite, et il est passé du RPR à l’UMP puis aux Républicains. En 2016, il a d’abord soutenu Nicolas Sarkozy à la primaire avant de se ranger derrière François Fillon. Il s’était même montré assez critique envers Emmanuel Macron, avant de devenir ministre de l’Action et des Comptes publics dès le premier gouvernement Philippe.
En juillet 2020, il est nommé ministre de l’Intérieur au sein du gouvernement Jean Castex, en remplacement de Gérard Collomb.
Le 20 mai 2022, il est confirmé à son poste pour le premier gouvernement d’Elisabeth Borne, et récupère même le portefeuille des Outre-mer après sa victoire aux législatives.
Porte-parole de la présidence Chirac pendant plus de neuf ans (de mai 1995 à septembre 2004), Catherine Colonna était ministre déléguée aux Affaires européennes à la fin du deuxième mandat de Jacques Chirac entre 2005 et 2007.
Ambassadrice de France en Italie de 2014 à 2017, elle occupait ce même poste au Royaume-Uni depuis septembre 2019.
Son principal dossier sur la table sera assurément celui de la guerre en Ukraine et des nombreuses conséquences diplomatiques que ce conflit implique, notamment vis-à-vis de la Russie.
Eric Dupond-Moretti fait partie des ministres issus de la société civile chers à Emmanuel Macron.
Cet avocat pénaliste, qui a exercé pendant plus de 30 ans à Lille, n’avait jamais fait de politique avant d’entrer au gouvernement à l’été 2020.
En novembre dernier, il a été mis en examen pour «prise illégale d’intérêts», soupçonné d’avoir profité de sa fonction pour régler des comptes avec des magistrats.
Malgré cela, ila été reconduit dans le gouvernement Borne.
Né en 1986, Sébastien Lecornu a fait l’intégralité de sa carrière en politique et il a battu plusieurs records de jeunesse. D’abord plus jeune assistant parlementaire (à l’âge de 19 ans) en 2005, il est devenu le plus jeune conseiller ministériel du gouvernement Fillon en travaillant auprès de Bruno Le Maire.
En 2015, nouveau record, puisque celui qui était alors maire UMP de Vernon est devenu le plus jeune président d’un conseil départemental. Pas si étonnant, donc, qu’il ait rejoint l’équipe du plus jeune président de la Ve République dès 2017 en tant que secrétaire d’Etat. Avant d’être promu ministre des Armées dès le début du second quinquennat.
Élu député d’Ardèche en 2007 et maire d’Annonay en 2008, il était membre du Parti socialiste jusqu’en 2017.
Il a alors été nommé Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Action et des Comptes publics. En 2020, il est nommé ministre délégué chargé des Comptes publics, toujours à Bercy.
En 2021, il est élu président de « Territoires de progrès », mouvement politique représentant l’aile gauche de la majorité présidentielle. En 2022, il est nommé ministre du Travail dans le gouvernement Borne.
Cet historien renommé, qui avait appelé à voter pour François Hollande en 2012, s’éloigne un peu plus des bancs de Sciences Po où il était professeur avant d’être choisi par Emmanuel Macron pour diriger le Musée de l’immigration et l’aquarium tropical de la Porte Dorée (XIIe).
La prise de fonction en mars 2021 de ce partisan du consensus parti étudier la question noire aux États-Unis avant de devenir professeur à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) avait été perçue comme un geste d’apaisement d’Emmanuel Macron, sur la question des mémoires de la colonisation et des tensions identitaires. Cette nomination avait alors valu au natif des Hauts-de-Seine la Une du New York Times.
Les étudiants, la recherche et l’enseignement, elle connait : Sylvie Retailleau était depuis plus de deux ans la présidente de la prestigieuse université Paris-Saclay.
Normalienne et agrégée de physique, cette femme de 57 ans avait également travaillé avec l’école CentraleSupélec.
Avant même d’être diplômé de Sciences politiques, Marc Fesneau s’est lancé dans la vie politique locale en tant que conseiller municipal de Marchenoir (Loir-et-Cher), où il est ensuite devenu maire en 2008. Il a également été attaché parlementaire de Jacqueline Gourault pendant une quinzaine d’années.
Il fait partie des rares membres du MoDem au sein du gouvernement. Avant sa nomination en tant que ministre, il était d’ailleurs président du groupe de son parti à l’Assemblée nationale.
Lors du précédent gouvernement Castex, il était ministre délégué auprès des relations avec le Parlement.
Après avoir été membre de l’UMP puis des Républicains – parti qu’il a quitté en 2017 -, le maire d’Angers est devenu secrétaire général d’Horizons, le parti d’Édouard Philippe, depuis le 9 octobre 2021.
Nommé ministre délégué chargé des collectivités territoriales dans le premier gouvernement Borne, il est bombardé quelques semaines plus tard ministre de la Transition énergétique, à la faveur du remaniement post-législatives.
Après un parcours à Sciences Po et à HEC, Agnès Pannier-Runacher a intégré l’ENA, où elle a notamment fait la rencontre d’Alexis Kohler, de Fleur Pellerin et d’Audrey Azoulay. Haute fonctionnaire, elle est passée par l’AP-HP et la Caisse des dépôts, avant d’être nommée directrice exécutive du Fond stratégique d’investissement (FSI).
En 2018, elle est nommée secrétaire d’État auprès de Bruno Le Maire à Bercy. Chargée de l’industrie, elle s’est distinguée pendant la crise du Covid-19 en structurant les filières de production de masques et de respirateurs.
Nommée ministre déléguée à l’industrie en 2020, elle a contribué au « plan de relance » pour soutenir les relocalisations, la décarbonation, la modernisation et l’innovation industrielle.
Née dans un Liban en guerre en 1978, Rima Abdul Malak arrive en France à 10 ans. Elle dirige « Clowns sans frontière », une association proposant des spectacles aux enfants sur des terrains de conflits.
Elle rejoint la mairie de Paris à l’époque de Bertrand Delanoë, débutant sous un rôle de conseil culturel aux politiques dans l’équipe de Christophe Girard. Elle occupe ensuite le poste d’attachée culturelle à l’ambassade de France aux Etats-Unis.
Depuis la fin de l’année 2019, elle était conseillère culturelle à l’Elysée.
D’abord membre du Parti socialiste et proche de Dominique Strauss-Kahn, Stanislas Guérini participe à la fondation d’En marche. Le parti a changé de nom, devenant Renaissance, mais Stanislas Guerini est resté. Il en était le délégué général jusqu’à ce vendredi, jour de sa nomination au poste de ministre de la Transformation et de la Fonction publique.

Diplômé d’HEC, ce fidèle macroniste a commencé sa carrière comme consultant, puis directeur marketing avant de devenir député de la 3e circonscription de Paris, en 2017.

Jugée maladroite, sa défense de Jérôme Peyrat, désormais ex-candidat de la majorité pour les législatives condamné pour violences conjugales, n’aura pas entaché sa grâce aux yeux d’Emmanuel Macron et d’Elisabeth Borne, qui l’a confirmé dans ses fonctions, après sa victoire de justesse aux législatives.
Cette quadragénaire est une haute fonctionnaire française, formée à l’ENA, issue de la même promotion qu’Emmanuel Macron. Elle a auparavant été magistrate à la Cour des comptes puis directrice générale de la Fédération française de tennis. Elle a eu dans sa jeunesse une brève carrière de joueuse de tennis professionnelle.
Olivier Véran a fait une grande partie de sa carrière dans le milieu médical. Il a notamment été médecin neurologue et assistant chef de clinique en soins intensifs de neurologie vasculaire
Élu conseiller régional en 2016 puis député en 2017, il est devenu ministre de la Santé en remplacement d’Agnès Buzyn, qui a quitté ses fonctions mi-février 2019 pour se lancer dans la course à la mairie de Paris.
Une arrivée qui s’est faite dans une période pour le moins compliquée, puisque les premiers cas de Covid-19 ont été découverts en France fin janvier et que le premier foyer a été détecté le 17 février. Très logiquement, c’est la lutte contre le coronavirus et la promotion de la vaccination qui ont occupé l’immense majorité de l’activité d’Olivier Véran.
Nommé ministre des relations avec le Parlement dans le premier gouvernement Borne, il a été réaffecté au porte-parolat du gouvernement après des législatives délicates.
Chef d’entreprise et dirigeant de concessions automobiles, Franck Riester a été élu député dès 2005. Il a, par ailleurs, occupé plusieurs mandats locaux à Coulommiers, où il a été conseiller municipal puis maire pendant près de 10 ans.
D’abord membre de l’UMP et des Républicains, il s’est ensuite rapproché d’Emmanuel Macron. C’est d’ailleurs ses prises de positions en faveur du chef de l’Etat qui lui ont valu, en 2017, son exclusion du parti de droite. Alors président du groupe LR-Constructifs à l’Assemblée nationale, il a participé à la création du groupe UDI, Agir et Indépendants, dont il a occupé la co-présidence.
Il a d’abord été ministre de la Culture, d’octobre 2018 à juillet 2020 avant de devenir ministre délégué. Reconduit dans le gouvernement Borne, au portefeuille du commerce extérieur, il est appelé après des législatives délicates à gérer les relations avec le Parlement.
Isabelle Rome, vient d’être nommée ministre déléguée auprès de la première ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances.
La quinquagénaire était haute fonctionnaire à l’égalité femmes-hommes du ministère de la Justice depuis juin 2018. Elle a été la plus jeune juge de France, en 1987, à 23 ans. Cette magistrate de formation a uniquement exercé les fonctions de magistrat du siège. Elle a aussi présidé pendant plusieurs années des cours d’assises.
Son dernier livre « Liberté, égalité, survie » relatif aux violences conjugales a été publié aux éditions Stock en mai 2020.
Gabriel Attal s’est très tôt consacré à la politique et a, pendant une dizaine d’années, fait partie du PS, qu’il a intégré pour soutenir Ségolène Royal à la présidentielle de 2007.
Dès 2016, il a rejoint En Marche, et a, depuis, connu une ascension rapide. Elu député en 2017, il est vite devenu porte-parole de LREM avant d’être nommé secrétaire d’Etat en 2018, puis porte-parole du gouvernement. Nommé au Budget dans le premier gouvernement Borne, il est confirmé après les législatives.
Diplômée de Paris X, Sciences Po et de l’Essec, elle a rejoint l’agence de communication DDB en tant que directrice du développement durable.
Après un passage chez Etalab à Matignon, elle a créé sa propre agence de conseil en 2014. Agence qu’elle fermera peu après son élection en tant que députée de Paris, en 2017.
En 2020, elle est nommée secrétaire d’État chargée de l’Économie sociale, solidaire et responsable à Bercy. Après un bref passage au porte-parolat dans le premier gouvernement Borne, elle retourne à Bercy dès le premier remaniement.
Né en 1981, Clément Beaune a fait ses études à Sciences Po Paris et à l’ENA. Issu de la gauche, il a été conseiller technique au budget pour Jean-Marc Ayrault puis a rejoint le cabinet d’Emmanuel Macron en 2014, quand celui-ci était ministre de l’Economie.
C’est à ce moment-là qu’il est devenu proche du président, qu’il a d’ailleurs conseillé quand il n’était encore que candidat à la fonction suprême. Il est entré au gouvernement à l’été 2020, après avoir un temps été pressenti pour figurer sur la liste LREM aux élections européennes.
Reconduit aux Affaires européennes dans le premier gouvernement Borne, il prend finalement en charge les Transports à la faveur d’un remaniement rapide après les législatives délicates pour la majorité.
Directrice de la Protection de la jeunesse depuis 2020, cette magistrate, diplômée d’Assas et de Sciences Po, connaît bien les rouages des institutions. Après avoir évolué dans le monde judiciaire, entre conseillère juridique et vice-procureure, elle est devenue conseillère d’Edouard Philippe, chef du pôle Justice du cabinet du Premier ministre.
Franco-hellène, née à Sparte dans le Péloponnèse, cette gynécologue de formation s’était fait remarquer pour sa lutte contre l’endométriose. Elle a reçu l’ordre national du Mérite en 2017 pour ses travaux. Elle est également membre de la commission des droits des femmes et de l’égalité des genres au Parlement européen de Strasbourg. Appelée dans le gouvernement Borne en juin 2022, elle est confirmée malgré des accusations de viol la visant, en lien avec l’exercice de son métier de gynécologuqe.
Président de Samu-Urgences en France, François Braun est un médecin urgentiste, chef de pôle au CHR de Metz-Thionville. Il est l’un des premiers médecins à alerter sur la dangerosité du Covid-19 Il est aux côtés d’Emmanuel Macron lors de sa campagne présidentielle en 2022 en lui apportant des propositions en matière de santé.
Le gouvernement ne lui est pas totalement inconnu. En mai dernier, il lance l’alerte de 120 services d’urgences forcés de contraindre leur activité faute de soignants. Le chef de l’Etat lui commande alors une mission flash sur ce sujet.
Des mesures sont attendues rapidement concernant la 7e vague de Covid-19 qui frappe le pays.
Il a débuté sa carrière comme conseiller technique au Sénat, en parallèle de ses études. Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris en 2005, il poursuit sa vie professionnelle en rejoignant le cabinet Deloitte, en tant que collaborateur spécialisé dans le secteur public.
Il change radicalement de poste en 2011, lorsqu’il est nommé directeur du cabinet du président de la Croix-Rouge française, Jean-François Mattei. En 2017, Jean-Christophe Combe devient le directeur général de la Croix-Rouge Française. Le nouveau ministre remplace donc Damien Abad, visé par une enquête pour tentative de viol.
Petit fils du résistant Pierre de Lescure, Roland Lescure rentre dans la vie politique notamment au moment de la création de l’euro, puisqu’il travaille au ministère de l’Economie et des Finances à cette période. Entre 2009 et 2017 il est devenu le premier vice-président de la Caisse de Dépôt et placement du Québec. Roland Lescure a été l’un des principaux acteurs du projet Réseaux électrique métropolitain, un projet de transports collectifs de la région métropolitaine de Montréal.
Il rencontre Emmanuel Macron en 2012, et devient par la suite l’un de ses premiers contributeurs financiers lors de sa campagne présidentielle de 2017. Président de la commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale de 2017 à 2022., il va désormais agir auprès de Bruno Le Maire en tant que ministre délégué chargé de l’Industrie.
Ancien vice-Président de la Commission des Finances de l’Assemblée nationale, Jean-Noel Barrot vient d’être réélu sous la bannière Modem – LREM dans la deuxième circonscription des Yvelines.
Également conseiller départemental de Haute-Loire (2015-2017), il est chargé par Jean Castex, ancien Premier ministre, d’une mission pour sortir de la crise économique liée au Covid-19, dont le rapport a été rendu en juillet.
Son père, Jacques Barrot, a également connu le gouvernement. Il était ministre sous les mandats de Valéry Giscard d’Estaing et Jacques Chirac.
Elle est entrée en politique en 1981, en adhérent au RPR. Elle a occupé plusieurs postes à responsabilités au sein de l’UMP, puis des Républicains, qu’elle finit par quitter en 2018. Lors des élections municipales de 2020, elle s’est présentée à sa réélection en tant que maire de Beauvais (Oise) sous l’étiquette Divers Droite. Soutenue par La République en Marche, elle est réélue. En novembre 2021 elle a affiché publiquement son soutien à Emmanuel Macron pour un second mandat de président.
Président de la Commission de régulation de l’énergie (CRE), Jean-François Carenço est un haut fonctionnaire, anciennement préfet de Paris et de la région Ile de France (2015-2017).
Il est secrétaire général de la préfecture des Yvelines, préfet de Saint-Pierre-et-Miquelon, du Tarn-et-Garonne et de Guadeloupe et de la Haute-Savoie, entre 1999 et 2002.
Il ne découvre pas le monde politique, il était directeur de cabinet de Jean-Louis Borloo lorsque celui-ci était ministre du Travail (2004-2005).
Député de la 5e circonscription du Haut-Rhin, il a d’abord connu le Parti Socialiste (1997-2005) puis la droite, l’UMP entre 2005 et 2015 et LR jusqu’à 2017. Il a cofondé le parti « Agir », qualifié de centre droit.
Becht s’est fait connaître, lui aussi, au moment de l’épidémie de Covid-19, après avoir défendu l’isolement obligatoire de quatorze jours pour les personnes positives et cas contact, à l’Assemblée nationale.
Contraint de s’allier avec le groupe LREM en juin, son parti « Agir » s’était vu passer devant par Horizon, présidé par Edouard Philippe, dans le rôle de soutien droit à Emmanuel Macron.
Née à Suresnes (Hauts-de-Seine) en 1983, elle a été responsable RH au sein du groupe Elior avant d’entrer en politique.
Elle devient députée de La République en Marche en 2017 dans la première circonscription de Nancy en Meurthe-et-Moselle, et siège alors à la commission des affaires sociales/
La députée âgée de 39 ans a été réélue lors des dernières législatives, puis nommée dans le second gouvernement Borne.
Maire de Clichy-sous-Bois, Olivier Klein est un ancien membre du Parti communiste et du Parti socialiste (2006-2020).
Il a annoncé son soutien au chef d’Etat en octobre 2021 avant l’élection présidentielle de 2022. Le logement est de retour après une absence dans le gouvernement Borne I.
La pharmacienne de profession est aussi députée de la 7e circonscription de la Seine-Maritime depuis 2017. Ses débuts en politique se font lorsqu’elle est adolescente, à l’âge de 15 ans, quand elle soutient aux campagnes électorales d’Antoine Rufenacht, élu maire du Havre en 1995. Lorsqu’Edouard Philippe remplace l’ancien maire au Havre, Agnès Firmin Le Bodo réaffirme son soutien et devient conseillère municipale, puis adjointe au maire.
Après avoir co-fondé le parti Agir, elle décide de rendre sa carte pour devenir le porte-parole de Horizons, le parti d’Edouard Philippe. Elle venait d’être élue présidente de la commission des Affaires culturelles au Palais Bourbon lorsqu’elle a été appelée à assister François Braun, l’actuel ministre de la santé et de la Prévention, en charge de l’Organisation territoriale et des Professions de la santé.
Conseillère régionale d’Aquitaine de 2004 à 2015, elle a été maire de Mont-de-Marsan de 2008 à 2017
En 2017, elle a été élue députée des Landes et, dans la foulée, nommée secrétaire d’État auprès de la ministre des Armées.
En juillet 2020, elle a poursuivi dans ce ministère, en tant que ministre déléguée à la Mémoire et aux Anciens Combattants dans le nouveau gouvernement Castex.
Absente du premier gouvernement Borne, elle est appelée quelques semaines après, dans le second.
Il est spécialiste en étude du développement, passé par l’Institut d’Etudes Politiques de Lille et la London School of Economics à Londres, où il obtient une maîtrise universitaire en histoire.
Entre 2013 et 2016, il a occupé un poste au Mozambique à l’Agence française du développement (AFD) puis devient en 2016, référent pour les Côtes-d’Armor des Jeunes avec Macron. Il est réélu lors des dernières législatives député de la deuxième circonscription des Côtes-d’Armor. A 32 ans, il est élu secrétaire d’Etat à la mer, devenant l’un des plus jeunes membres du Gouvernement d’Elisabeth Borne.
Marlène Schiappa a créé, en 2008, le blog « Maman travaille » qui décrit les difficultés pour certaines femmes à cumuler vie professionnelle et personnelle. Elle l’a tenu jusqu’en 2017. Lorsqu’elle était adjointe au maire du Mans, de 2014 à 2017, Marlène Schiappa était chargée de l’égalité et de la lutte contre les discriminations.
Une thématique qu’elle a continué à porter en tant que secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations. En 2020, elle a changé de portefeuille pour devenir ministre déléguée chargée de la Citoyenneté. En 2021, elle est, par ailleurs, devenue conseillère régionale d’Île-de-France.
Absente du premier gouvernement Borne, elle intègre l’équipe remaniée après les législatives
Présidente de la province sud de Nouvelle-Calédonie, elle est une figure de la droite opposée à l’indépendance. Elle n’a que 18 ans quand elle intègre le principal parti de la droite anti-indépendantiste néo-calédonien.
Syndicaliste, elle dirige la troisième force syndicale de Nouvelle-Calédonie (CFE-CGC) à partir de 2006 avant d’entrer en politique.
Elle décide de soutenir Emmanuel Macron fin 2021 qui est, selon elle, « le seul à posséder une réelle connaissance du calédonien ». Elle devra collaborer avec Gérald Darmanin, un « ami ».
Née en 1959 à Boulogne-Billancourt, cette économiste de formation formée à London Business School est passée par plusieurs grandes banques anglo-saxonnes dont Barclays et Bank of America Merrill Lynch.
Cheffe économiste, elle fait ses premiers pas en politique en 2014 durant deux années en tant que conseillère économique et financier de la présidence de la République auprès de François Hollande. Depuis janvier 2022, elle est secrétaire générale adjointe de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE).
À 53 ans, elle vient d’être nommée secrétaire d’Etat chargée de l’Europe, auprès de la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna, succédant à Clément Beaune.
Membre du Modem, elle a été élue députée de Loire-Atlantique en 2017 puis conseillère municipale de Nantes en 2020.
C’est cette même année qu’elle a été nommée secrétaire d’État chargée de la Jeunesse et de l’Engagement auprès de Jean-Michel Blanquer.
En 2021, la loi dite « El Haïry » est promulguée. Elle ouvre de nouvelles facilités de financement et de trésorerie pour les associations.
Absente du premier gouvernement Borne, elle intègre l’équipe remaniée après les législatives
Esthéticienne de formation, elle commence sa vie politique au sein du Parti socialiste, qu’elle finit par quitter en 2012. Patricia Mirallès s’est progressivement fait une place dans la mairie de Montpelier en commençant par soutenir Philipe Saurel, lorsqu’il est élu à la mairie en 2014.
En 2017, elle décide de se présenter aux élections législatives de la première circonscription de l’Hérault, qu’elle remporte. Nommée rapporteure pour la commission de la défense nationale et des forces armées, ainsi que du projet de loi « portant reconnaissance de la Nation envers les harkis et les autres personnes rapatriées d’Algérie… », elle a été réélue en 2022 avant d’être appelée au gouvernement .
Originaire de Rennes, elle a étudié le commerce international et est devenue directrice régionale de la marque de prêt-à-porter IKKS. Ses premiers pas en politique se font en tant que députée de La République en Marche en 2017 à Pessac (7e circonscription de la Gironde) où elle est réélue en juin. Durant cinq années, elle a travaillé au sein de la commission développement durable à l’Assemblée.
Championne de France cadettes de tennis, puis numéro 12 française en senior, elle s’engage en politique en 2012, rejoignant le Parti Radical. Elle adhère au parti LREM en 2017, tout en restant membre du Parti Radical, et est réélue maire de Saint-Orens-de-Gameville en 2020. Députée sous l’étiquette Ensemble dans la dixième circonscription de Haute-Garonne, elle est élue députée le 19 juin dernier.
Députée divers gauche de la deuxième circonscription de Guadeloupe depuis 2017, Justine Bénin a été nommée secrétaire d’Etat chargée de la Mer. Titulaire d’un master de droit, elle commence sa carrière à la protection judiciaire de la jeunesse puis au sein de Pôle emploi. Elle s’engage en 2010 dans la politique guadeloupéenne, devenant conseillère municipale, générale, puis départementale. Elle est à l’origine de la loi sur la gouvernance de l’eau potable en Guadeloupe. En poste comme secrétaire d’Etat chargée de la Mer dans le premier gouvernement Borne, elle démissionne quelques semaines plus tard après son échec aux législatives.
Né à Nîmes en 1980, Damien Abad s’installe politiquement dans le Bugey (Ain) après être sorti major de promo à Sciences Po Bordeaux puis être passé sur les bancs de Sciences Po Paris, malgré une arthrogrypose, une maladie rare qui perturbe les articulations.
Engagé au Nouveau Centre, il rejoint l’UMP, et devient le plus jeune député européen en 2009, avant d’être élu à l’Assemblée nationale en juin 2012. Réélu en 2017, il était depuis 2019 président du groupe Les Républicains à la chambre haute.
D’abord investi dans sa circonscription par Les Républicains, sans que la majorité présidentielle n’y investisse de candidat, il avait demandé du temps pour clarifier sa situation. Le 19 mai, il avait annoncé se mettre en congé de son parti.
Visé par une enquête pour tentative de viol, l’ancien député a finalement quitté au bout de quelques semaines son poste de ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées.
Diplômée de HEC et de Harvard, Amélie de Montchalin a été économiste à la BNP Paribas, puis a travaillé pour AXA et la Commission européenne.
En parallèle, elle s’est investie en politique à l’UMP et a même travaillé pour la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.
C’est après la défaite d’Alain Juppé à la primaire des Républicains, fin 2016, qu’Amélie de Montchalin a rejoint Emmanuel Macron. Elle a été élue députée en 2017. Nommée ministre de la Transition écologique dans le premier gouverement Borne, ce poids lourd de la Macronie doit démissionner quelques semaines plus tard après sa défaite aux législatives.
Née à Boulogne-sur-Mer, Brigitte Bourguignon a commencé sa carrière dans le secrétariat médical avant de rejoindre le Conseil départemental en tant que fonctionnaire territoriale. En 2012, alors adjointe au maire de sa ville, elle a été élue députée du Pas-de-Calais.
En 2017, elle a rejoint LREM avant d’être exclue du Parti Socialiste. Réélue cette même année, elle a pris la présidence de la Commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale.

En juillet 2020, elle est nommée ministre déléguée chargée de l’Autonomie. Promue ministre de la Santé dans le premier gouvernement Borne, elle doit jeter l’éponge dans la foulée de sa défaite aux léfislatives.
Membre du Parti socialiste puis d’En marche (devenu La République en marche), elle est élue députée dans la cinquième circonscription des Yvelines lors des élections législatives de 2017. L’ancienne avocate en droit pénal reconvertie dans le milieu associatif a été, à la surprise générale, élue présidente de la très prestigieuse commission des Lois de l’Assemblée nationale seulement quelques semaines après son élection.
Nommée ministre des Outre-mer dans le premier gouvernement Borne, elle quitte ce poste rapidement après avoir été élue présidente de l’Assemblée nationale.
Depuis le début de sa carrière, Elisabeth Borne a alterné les postes au sein de la société civile et en politique. Elle a notamment été directrice de la stratégie à la SNCF et PDG de la RATP de 2015 à 2017. Mais elle a aussi été conseillère auprès de Jack Lang, de Lionel Jospin puis directrice de cabinet de Ségolène Royal.
En 2017, elle est entrée au gouvernement comme ministre en charge des Transports, avant de remplacer François de Rugy à l’écologie puis d’arriver au ministère du Travail.
Comme plusieurs ministres de la macronie, elle a rejoint, en 2020, le parti de centre-gauche Territoire de Progrès.
Né le 15 avril 1969 à Neuilly-sur-Seine, Bruno Le Maire est multi-diplômé : École normale supérieure, sciences-Po Paris, ENA , etc. Sa carrière politique a débuté par un poste au sein de la direction des affaires stratégiques du ministère des Affaires étrangères de Dominique de Villepin, en 1998.
Il a été élu député pour la première fois en 2007, sous les couleurs de l’UMP. Ministre de l’Agriculture sous Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire a ensuite été largement battu à la primaire de la droite et du centre de 2016.
Nommé au gouvernement par Emmanuel Macron en mai 2017, il a rejoint le parti présidentiel quatre mois plus tard.
Déjà militant pour le RPR alors qu’il était encore étudiant, Gérald Darmanin s’est lancé dans la politique dès qu’il a obtenu son diplôme de Sciences Politiques. Il a alterné les postes et mandats nationaux – directeur de cabinet de David Douillet, député du Nord – et locaux – maire de Tourcoing, conseiller régional des Hauts-de-France.
Son militantisme l’a toujours poussé à droite, et il est passé du RPR à l’UMP puis aux Républicains. En 2016, il a d’abord soutenu Nicolas Sarkozy à la primaire avant de se ranger derrière François Fillon. Il s’était même montré assez critique envers Emmanuel Macron, avant de devenir ministre de l’Action et des Comptes publics dès le premier gouvernement Philippe.
En juillet 2020, il est nommé ministre de l’Intérieur au sein du gouvernement Jean Castex, en remplacement de Gérard Collomb.
Le 20 mai 2022, il est confirmé à son poste pour le premier gouvernement d’Elisabeth Borne.
Eric Dupond-Moretti fait partie des ministres issus de la société civile chers à Emmanuel Macron.
Cet avocat pénaliste, qui a exercé pendant plus de 30 ans à Lille, n’avait jamais fait de politique avant d’entrer au gouvernement à l’été 2020.
En novembre dernier, il a été mis en examen pour «prise illégale d’intérêts», soupçonné d’avoir profité de sa fonction pour régler des comptes avec des magistrats.
Diplômée de HEC et de Harvard, Amélie de Montchalin a été économiste à la BNP Paribas, puis a travaillé pour AXA et la Commission européenne.
En parallèle, elle s’est investie en politique à l’UMP et a même travaillé pour la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.
C’est après la défaite d’Alain Juppé à la primaire des Républicains, fin 2016, qu’Amélie de Montchalin a rejoint Emmanuel Macron. Elle a été élue députée en 2017.
Né en 1986, Sébastien Lecornu a fait l’intégralité de sa carrière en politique et il a battu plusieurs records de jeunesse. D’abord plus jeune assistant parlementaire (à l’âge de 19 ans) en 2005, il est devenu le plus jeune conseiller ministériel du gouvernement Fillon en travaillant auprès de Bruno Le Maire.
En 2015, nouveau record, puisque celui qui était alors maire UMP de Vernon est devenu le plus jeune président d’un conseil départemental. Pas si étonnant, donc, qu’il ait rejoint l’équipe du plus jeune président de la Ve République dès 2017 en tant que secrétaire d’Etat.
Née à Boulogne-sur-Mer, Brigitte Bourguignon a commencé sa carrière dans le secrétariat médical avant de rejoindre le Conseil départemental en tant que fonctionnaire territoriale. En 2012, alors adjointe au maire de sa ville, elle a été élue députée du Pas-de-Calais.
En 2017, elle a rejoint LREM avant d’être exclue du Parti Socialiste. Réélue cette même année, elle a pris la présidence de la Commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale. En juillet 2020, elle est nommée ministre déléguée chargée de l’Autonomie.
Élu député d’Ardèche en 2007 et maire d’Annonay en 2008, il était membre du Parti socialiste jusqu’en 2017.
Il a alors été nommé Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Action et des Comptes publics. En 2020, il est nommé ministre délégué chargé des Comptes publics, toujours à Bercy.
En 2021, il est élu président de « Territoires de progrès », mouvement politique représentant l’aile gauche de la majorité présidentielle.
Avant même d’être diplômé de Sciences politiques, Marc Fesneau s’est lancé dans la vie politique locale en tant que conseiller municipal de Marchenoir (Loir-et-Cher), où il est ensuite devenu maire en 2008. Il a également été attaché parlementaire de Jacqueline Gourault pendant une quinzaine d’années.
Il fait partie des rares membres du MoDem au sein du gouvernement. Avant sa nomination en tant que ministre, il était d’ailleurs président du groupe de son parti à l’Assemblée nationale.
Lors du précédent gouvernement Castex, il était ministre délégué auprès des relations avec le Parlement.
Après un parcours à Sciences Po et à HEC, Agnès Pannier-Runacher a intégré l’ENA, où elle a notamment fait la rencontre d’Alexis Kohler, de Fleur Pellerin et d’Audrey Azoulay. Haute fonctionnaire, elle est passée par l’AP-HP et la Caisse des dépôts, avant d’être nommée directrice exécutive du Fond stratégique d’investissement (FSI).
En 2018, elle est nommée secrétaire d’État auprès de Bruno Le Maire à Bercy. Chargée de l’industrie, elle s’est distinguée pendant la crise du Covid-19 en structurant les filières de production de masques et de respirateurs.
Nommée ministre déléguée à l’industrie en 2020, elle a contribué au « plan de relance » pour soutenir les relocalisations, la décarbonation, la modernisation et l’innovation industrielle.
Olivier Véran a fait une grande partie de sa carrière dans le milieu médical. Il a notamment été médecin neurologue et assistant chef de clinique en soins intensifs de neurologie vasculaire
Élu conseiller régional en 2016 puis député en 2017, il est devenu ministre de la Santé en remplacement d’Agnès Buzyn, qui a quitté ses fonctions mi-février 2019 pour se lancer dans la course à la mairie de Paris.
Une arrivée qui s’est faite dans une période pour le moins compliquée, puisque les premiers cas de Covid-19 ont été découverts en France fin janvier et que le premier foyer a été détecté le 17 février. Très logiquement, c’est la lutte contre le coronavirus et la promotion de la vaccination qui ont occupé l’immense majorité de l’activité d’Olivier Véran.
Gabriel Attal s’est très tôt consacré à la politique et a, pendant une dizaine d’années, fait partie du PS, qu’il a intégré pour soutenir Ségolène Royal à la présidentielle de 2007.
Dès 2016, il a rejoint En Marche, et a, depuis, connu une ascension rapide. Elu député en 2017, il est vite devenu porte-parole de LREM avant d’être nommé secrétaire d’Etat en 2018, puis porte-parole du gouvernement.
Chef d’entreprise et dirigeant de concessions automobiles, Franck Riester a été élu député dès 2005. Il a, par ailleurs, occupé plusieurs mandats locaux à Coulommiers, où il a été conseiller municipal puis maire pendant près de 10 ans.
D’abord membre de l’UMP et des Républicains, il s’est ensuite rapproché d’Emmanuel Macron. C’est d’ailleurs ses prises de positions en faveur du chef de l’Etat qui lui ont valu, en 2017, son exclusion du parti de droite. Alors président du groupe LR-Constructifs à l’Assemblée nationale, il a participé à la création du groupe UDI, Agir et Indépendants, dont il a occupé la co-présidence.
Il a d’abord été ministre de la Culture, d’octobre 2018 à juillet 2020 avant de devenir ministre délégué.
Né en 1981, Clément Beaune a fait ses études à Sciences Po Paris et à l’ENA. Issu de la gauche, il a été conseiller technique au budget pour Jean-Marc Ayrault puis a rejoint le cabinet d’Emmanuel Macron en 2014, quand celui-ci était ministre de l’Economie.
C’est à ce moment-là qu’il est devenu proche du président, qu’il a d’ailleurs conseillé quand il n’était encore que candidat à la fonction suprême. Il est entré au gouvernement à l’été 2020, après avoir un temps été pressenti pour figurer sur la liste LREM aux élections européennes.
Diplômée de Paris X, Sciences Po et de l’Essec, elle a rejoint l’agence de communication DDB en tant que directrice du développement durable.
Après un passage chez Etalab à Matignon, elle a créé sa propre agence de conseil en 2014. Agence qu’elle fermera peu après son élection en tant que députée de Paris, en 2017.
En 2020, elle est nommée secrétaire d’État chargée de l’Économie sociale, solidaire et responsable à Bercy.
Porte-parole de la présidence Chirac pendant plus de neuf ans (de mai 1995 à septembre 2004), Catherine Colonna était ministre déléguée aux Affaires européennes à la fin du deuxième mandat de Jacques Chirac entre 2005 et 2007.
Ambassadrice de France en Italie de 2014 à 2017, elle occupait ce même poste au Royaume-Uni depuis septembre 2019.
Son principal dossier sur la table sera assurément celui de la guerre en Ukraine et des nombreuses conséquences diplomatiques que ce conflit implique, notamment vis-à-vis de la Russie.
Cet historien renommé, qui avait appelé à voter pour François Hollande en 2012, s’éloigne un peu plus des bancs de Sciences Po où il était professeur avant d’être choisi par Emmanuel Macron pour diriger le Musée de l’immigration et l’aquarium tropical de la Porte Dorée (XIIe).
La prise de fonction en mars 2021 de ce partisan du consensus parti étudier la question noire aux États-Unis avant de devenir professeur à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) avait été perçue comme un geste d’apaisement d’Emmanuel Macron, sur la question des mémoires de la colonisation et des tensions identitaires. Cette nomination avait alors valu au natif des Hauts-de-Seine la Une du New York Times.
Né à Nîmes en 1980, Damien Abad s’installe politiquement dans le Bugey (Ain) après être sorti major de promo à Sciences Po Bordeaux puis être passé sur les bancs de Sciences Po Paris, malgré une arthrogrypose, une maladie rare qui perturbe les articulations.
Engagé au Nouveau Centre, il rejoint l’UMP, et devient le plus jeune député européen en 2009, avant d’être élu à l’Assemblée nationale en juin 2012. Réélu en 2017, il était depuis 2019 président du groupe Les Républicains à la chambre haute.
D’abord investi dans sa circonscription par Les Républicains, sans que la majorité présidentielle n’y investisse de candidat, il avait demandé du temps pour clarifier sa situation. Le 19 mai, il avait annoncé se mettre en congé de son parti.
Les étudiants, la recherche et l’enseignement, elle connait : Sylvie Retailleau était depuis plus de deux ans la présidente de la prestigieuse université Paris-Saclay.
Normalienne et agrégée de physique, cette femme de 57 ans avait également travaillé avec l’école CentraleSupélec.
D’abord membre du Parti socialiste et proche de Dominique Strauss-Kahn, Stanislas Guérini participe à la fondation d’En marche. Le parti a changé de nom, devenant Renaissance, mais Stanislas Guerini est resté. Il en était le délégué général jusqu’à ce vendredi, jour de sa nomination au poste de ministre de la Transformation et de la Fonction publique.

Diplômé d’HEC, ce fidèle macroniste a commencé sa carrière comme consultant, puis directeur marketing avant de devenir député de la 3e circonscription de Paris, en 2017.

Jugée maladroite, sa défense de Jérôme Peyrat, désormais ex-candidat de la majorité pour les législatives condamné pour violences conjugales, n’aura pas entaché sa grâce aux yeux d’Emmanuel Macron et d’Elisabeth Borne.
Membre du Parti socialiste puis d’En marche (devenu La République en marche), elle est élue députée dans la cinquième circonscription des Yvelines lors des élections législatives de 2017. L’ancienne avocate en droit pénal reconvertie dans le milieu associatif a été, à la surprise générale, élue présidente de la très prestigieuse commission des Lois de l’Assemblée nationale seulement quelques semaines après son élection.
Née dans un Liban en guerre en 1978, Rima Abdul Malak arrive en France à 10 ans. Elle dirige « Clowns sans frontière », une association proposant des spectacles aux enfants sur des terrains de conflits.
Elle rejoint la mairie de Paris à l’époque de Bertrand Delanoë, débutant sous un rôle de conseil culturel aux politiques dans l’équipe de Christophe Girard. Elle occupe ensuite le poste d’attachée culturelle à l’ambassade de France aux Etats-Unis.
Depuis la fin de l’année 2019, elle était conseillère culturelle à l’Elysée.
Cette quadragénaire est une haute fonctionnaire française, formée à l’ENA, issue de la même promotion qu’Emmanuel Macron. Elle a auparavant été magistrate à la Cour des comptes puis directrice générale de la Fédération française de tennis. Elle a eu dans sa jeunesse une brève carrière de joueuse de tennis professionnelle.
Isabelle Rome, vient d’être nommée ministre déléguée auprès de la première ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances.
La quinquagénaire était haute fonctionnaire à l’égalité femmes-hommes du ministère de la Justice depuis juin 2018. Elle a été la plus jeune juge de France, en 1987, à 23 ans. Cette magistrate de formation a uniquement exercé les fonctions de magistrat du siège. Elle a aussi présidé pendant plusieurs années des cours d’assises.
Son dernier livre « Liberté, égalité, survie » relatif aux violences conjugales a été publié aux éditions Stock en mai 2020.
Après avoir été membre de l’UMP puis des Républicains – parti qu’il a quitté en 2017 -, le maire d’Angers est devenu secrétaire général d’Horizons, le parti d’Édouard Philippe, depuis le 9 octobre 2021.
Députée divers gauche de la deuxième circonscription de Guadeloupe depuis 2017, Justine Bénin a été nommée secrétaire d’Etat chargée de la Mer. Titulaire d’un master de droit, elle commence sa carrière à la protection judiciaire de la jeunesse puis au sein de Pôle emploi. Elle s’engage en 2010 dans la politique guadeloupéenne, devenant conseillère municipale, générale, puis départementale. Elle est à l’origine de la loi sur la gouvernance de l’eau potable en Guadeloupe.
Directrice de la Protection de la jeunesse depuis 2020, cette magistrate, diplômée d’Assas et de Sciences Po, connaît bien les rouages des institutions. Après avoir évolué dans le monde judiciaire, entre conseillère juridique et vice-procureure, elle est devenue conseillère d’Edouard Philippe, chef du pôle Justice du cabinet du Premier ministre.
Franco-hellène, née à Sparte dans le Péloponnèse, cette gynécologue de formation s’était fait remarquer pour sa lutte contre l’endométriose. Elle a reçu l’ordre national du Mérite en 2017 pour ses travaux. Elle est également membre de la commission des droits des femmes et de l’égalité des genres au Parlement européen de Strasbourg.
Diplômé de l’ENA, Jean Castex s’est rapidement lancé dans la vie politique locale, dans un premier temps, puis nationale. Membre de l’UMP, il a notamment été directeur de cabinet de Xavier Bertrand lorsqu’il était au ministère de la Santé, à partir de 2006.
Membre des Républicains jusqu’au jour même de sa nomination, Jean Castex est devenu chef du gouvernement en juillet 2020, en remplacement d’Edouard Philippe, alors qu’il était maire de Prades et conseiller départemental des Pyrénées-Orientales.
Il a alors eu la lourde tâche de prendre le relais sur la crise sanitaire, enchaînant les conférences de presse hebdomadaires lors des vagues successives de Covid-19. Il a également dû assurer le service après-vente de plusieurs réformes marquantes, comme celle de l’Assurance chômage mais aussi le plan de relance économique. Avant même le deuxième tour, il a annoncé qu’il démissionnerait en cas de réélection d’Emmanuel Macron.
Travaillant d’abord dans un office du tourisme puis en mairie à Saint-Pierre-et-Miquelon, Annick Girardin a été députée de cet archipel français de 2007 à 2014.
De gauche, membre du RPR, c’est lorsque François Hollande était président qu’elle a fait son entrée au gouvernement, en tant que secrétaire d’Etat puis ministre.
A l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, elle est restée ministre mais est passée de la Fonction publique aux Outre-mer, puis à la Mer.
Biochimiste de formation, Frédérique Vidal a fait toute sa carrière dans l’enseignement supérieur.
Professeure des universités, maître de conférence, membre du conseil scientifique de l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), elle a été présidente de l’université de Nice de 2012 à 2017 avant d’être nommée ministre.
Elle a provoqué un tollé en 2021 après avoir annoncé vouloir lancer une enquête sur “l’islamo-gauchisme” dans les universités.
S’il s’est très rapidement tourné vers l’économie, Julien Denormandie est ingénieur des eaux et forêts de formation. Proche d’Emmanuel Macron, avec qui il n’a d’ailleurs que trois ans d’écart, Julien Denormandie est même parfois qualifié de “Macron bis” ou “bébé Macron”.
Il faut dire qu’il a été le directeur adjoint de son cabinet quand le chef d’Etat n’était encore que ministre de l’Economie, en 2014. Il est l’un des créateurs du mouvement En Marche, dont il a été secrétaire général adjoint.
Née au Cap Vert et arrivée en France à l’âge de sept ans, elle a fait une grande partie de sa carrière dans la tech. Elle a notamment dirigé le groupe Lenovo en France puis HP en Afrique.
C’est donc sans aucune étiquette politique qu’Elisabeth Moreno est arrivée au sein du gouvernement à l’été 2020, au poste qu’occupait Marlène Schiappa avant elle.
Diplômée d’une école de commerce, Sophie Cluzel a commencé sa carrière comme gérante d’un chantier naval puis s’est retrouvée chargée du développement d’une marque de linge de maison.
Peu après la naissance de son quatrième enfant, porteur de trisomie, elle a cessé son activité pour se consacrer à la vie associative à la toute fin des années 1990, devenant notamment présidente de la Fédération nationale des associations au service des élèves présentant une situation de handicap.
Diplômé de l’IEP de Strasbourg et d’une école de sciences économiques et commerciales, Jean-Baptiste Lemoyne s’est assez vite lancé en politique, devenant, dès 2002, conseiller technique de Jean-François Copé, qu’il a suivi à différents postes.
Il a ensuite occupé ses propres mandats, notamment celui de conseiller municipal puis de sénateur de l’Yonne sous la bannière LR.
A la suite de l’affaire Fillon, il a renoncé à soutenir le candidat de son parti pour la présidentielle de 2017 et s’est alors tourné vers Emmanuel Macron.
Haute-fonctionnaire également diplômée d’une Haute école de commerce, Emmanuelle Wargon a occupé plusieurs postes de conseillère au ministère de la Santé.
Elle a également travaillé à l’Agence du médicament, à l’AP-HP et a été lobbyiste pour Danone à partir de 2015.
Elle était d’ailleurs encore au sein de cette entreprise lorsqu’elle a été nommée secrétaire d’État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire en 2017.
Né en 1982, Jean-Baptiste Djebbari a fait une grande partie de sa carrière dans l’aviation. D’abord pilote de ligne, il a ensuite travaillé à la Direction générale de l’aviation civile et pour la compagnie Jetfly.
Il a rencontré Emmanuel Macron lorsque celui-ci était encore ministre de l’Economie puis a rejoint LREM dont il est devenu député (dans la Vienne) sans avoir aucune expérience en politique préalable en 2017.
En 2020, il assurait à Libération que son “coeur et (sa) structure intellectuelle (le) situent à gauche” de l’échiquier politique.
Commerçante de profession, avec quelques incursions dans le milieu culturel, Bérangère Abba a entamé sa carrière politique en 2014. D’abord conseillère municipale à Chaumont, sa ville d’origine, elle a été élue députée en 2017 sous la bannière LREM.
Elle a notamment fait parler d’elle en votant contre l’inscription de l’interdiction du glyphosate dans la loi, en 2018.
Ce qui ne l’a pas empêchée de devenir déléguée nationale à la Transition écologique d’En Marche en 2019 avant d’intégrer le gouvernement en 2020.
Roumaine d’origine, arrivée en France en 1984, Roxana Maracineanu a été naturalisée en 1991. Nageuse de haut niveau, elle a été sacrée championne du monde de dos en 1998 et a remporté la médaille d’argent en 2000, aux JO de Sydney dans la même spécialité.
Elle est entrée en politique en 2010 en tant que Conseillère régionale d’Ile-de-France sous la bannière PS. Et ce, jusqu’en 2015.
En 2018, elle a succédé à Laura Flessel au ministère des Sports, où elle s’est distinguée par plusieurs actions de lutte contre les noyades, l’homophobie et les agressions sexuelles dans le sport.
Membre du Modem, elle a été élue députée de Loire-Atlantique en 2017 puis conseillère municipale de Nantes en 2020.
C’est cette même année qu’elle a été nommée secrétaire d’État chargée de la Jeunesse et de l’Engagement auprès de Jean-Michel Blanquer.
En 2021, la loi dite « El Haïry » est promulguée. Elle ouvre de nouvelles facilités de financement et de trésorerie pour les associations.
Diplômé d’HEC en 2006, où il a rencontré Stanislas Guérini, Cédric O a commencé sa carrière dans le privé, notamment chez Safran.
Parallèlement, il a intégré l’équipe de campagne de Dominique Strauss-Kahn pour la primaire PS de 2006 et a fait la rencontre d’Ismaël Emelien et de Benjamin Griveaux.
En 2017, il a rejoint l’Elysée en tant que conseiller chargé des participations publiques et de l’économie numérique. En 2019, il est nommé secrétaire d’Etat chargé du numérique à Bercy.

Breton d’origine (il est né le 20 juin 1947 à Lorient), Jean-Yves Le Drian vient de passer dix années d’affilée au gouvernement, au ministère de la Défense sous François Hollande, puis à celui des Affaires étrangères sous Emmanuel Macron.
Il a co-fondé deux ans plus tard le parti Territoires de progrès, souvent considéré comme l’« aile gauche » social-démocrate au sein du parti présidentiel LREM.
Barbara Pompili était ministre de la Transition écologique depuis près de deux ans. Ancienne députée écologiste élue en 2012, elle a ensuite quitté le parti EELV, qu’elle jugeait trop sectaire.
Nommée secrétaire d’État chargée de la Biodiversité de février 2016 à mai 2017, dans les gouvernements de Manuel Valls puis de Bernard Cazeneuve, Barbara Pompili a intégré le groupe LREM à l’Assemblée nationale à la suite des élections législatives de 2017.
Elle a en revanche échoué à prendre la présidence de la chambre basse, devancée par Richard Ferrand à l’élection interne au sein de la majorité.
Diplômée d’un doctorat de pharmacie, Roselyne Bachelot a fait toute la première partie de sa carrière dans le secteur médical et a notamment été pharmacienne pendant sept ans. Membre du RPR puis de l’UMP, elle a d’abord été ministre de l’Ecologie sous Jacques Chirac de 2002 à 2004.
Lorsque Nicolas Sarkozy est arrivé au pouvoir, Roselyne Bachelot a occupé le poste de ministre de la Santé. Elle s’est notamment vu reprocher une commande trop importante de vaccins contre la grippe H1N1.
Après un passage en tant que chroniqueuse et animatrice à la télévision et à la radio à partir de 2013, elle est revenue en politique en 2020.
Administrateur des PTT de profession, Joël Giraud a été maire de l’Argentière-la Bessée (Hautes-Alpes) pendant près de 30 ans. Membre du PRG (parti radical de gauche), il est élu député dès 2002 et toujours reconduit depuis, sa dernière mandature s’étant faite avec l’investiture LREM.
Après avoir été secrétaire d’Etat pendant deux ans, il a remplacé au pied levé Jacqueline Gourault, nommée au Conseil constitutionnel, en mars. Il a décidé de se présenter une fois de plus pour les législatives de 2022.
Agrégé de droit, Jean-Michel Blanquer a fait une grande partie de sa carrière dans l’éducation. Il a occupé des postes de professeur, de directeur de différents établissements d’études supérieures mais aussi de recteur.
Avant de devenir ministre en 2017, il avait fait une première incursion en politique en travaillant au cabinet de Gilles de Robien, alors ministre de l’Education.
S’il a été au coeur de plusieurs polémiques – la dernière en date étant ses vacances à Ibiza à l’aube d’une rentrée scolaire compliquée – son principal fait d’arme est sans doute la réforme du baccalauréat, qui a mis fin aux filières classiques et a laissé une place plus grande au contrôle continu.
Diplômée de l’ENA en 1985, Florence Parly a travaillé pendant longtemps à la Direction du budget et dans divers cabinets ministériels. Adhérente socialiste, elle a été nommée une première fois au gouvernement en janvier 2000, au poste de secrétaire d’État au Budget.
Après plusieurs années passées en entreprise (Zodiac Aerospace, Altran, Ingenico, etc.), elle est revenue dans le grand bain politique en 2017, à la faveur de sa nomination au ministère des Armées par Emmanuel Macron.
Durant ce quinquennat, elle a dû gérer les conflits au Mali, en Syrie, et bien sûr en Ukraine.
Conseillère régionale d’Aquitaine de 2004 à 2015, elle a été maire de Mont-de-Marsan de 2008 à 2017
En 2017, elle a été élue députée des Landes et, dans la foulée, nommée secrétaire d’État auprès de la ministre des Armées.
En juillet 2020, elle a poursuivi dans ce ministère, en tant que ministre déléguée à la Mémoire et aux Anciens Combattants dans le nouveau gouvernement Castex.
Marlène Schiappa a créé, en 2008, le blog « Maman travaille » qui décrit les difficultés pour certaines femmes à cumuler vie professionnelle et personnelle. Elle l’a tenu jusqu’en 2017. Lorsqu’elle était adjointe au maire du Mans, de 2014 à 2017, Marlène Schiappa était chargée de l’égalité et de la lutte contre les discriminations.
Une thématique qu’elle a continué à porter en tant que secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations. En 2020, elle a changé de portefeuille pour devenir ministre déléguée chargée de la Citoyenneté. En 2021, elle est, par ailleurs, devenue conseillère régionale d’Île-de-France.
Successivement membre de l’UDF puis des Républicains, elle a été présidente du Conseil départemental du Haut-Rhin de 2017 à 2020.
En juillet 2020, Brigitte Klinkert a été nommée ministre déléguée chargée de l’Insertion.
Dans ce contexte, elle s’est notamment chargée du projet « 1 jeune 1 solution » ainsi que du nouveau service public permettant de remettre les personnes en insertion sur le chemin de l’emploi.
Né en Seine-Saint-Denis, il a passé la plupart de sa carrière au sein du groupe Auchan. Il a ensuite rejoint LREM dès sa création et été élu député du Nord en juin 2017.
En 2019, il est nommé secrétaire d’Etat pour animer le projet de réforme des retraites. En 2020, il est nommé secrétaire d’Etat en charge des Retraites et de la Santé.
Native de Trappes dans les Yvelines, Nadia Hai a travaillé 13 ans en banque, chez HSBC puis chez Barclays.
C’est en février 2017 qu’elle est entrée en politique, en participant au comité « Femmes en marche avec Macron ». Aux législatives, la même année, elle a battu le député sortant, Benoît Hamon, et pris le siège des Yvelines.
En 2020, elle est nommée ministre déléguée à la Ville dans le nouveau gouvernement Castex.
Diplômé de Sciences Po Paris, il a rejoint le groupe Havas chez Euro RSCG en 2004, jusqu’à devenir directeur associé de l’agence de communication en 2008, puis a poursuivi sa carrière dans différentes agences jusqu’en 2017.
Il est apparu sur les radars à partir de 2015, lors de la création d’En Marche ! et est même considéré comme l’un des inventeurs du nom du mouvement et de son logo. Aux législatives de 2017, il a été élu député des Hauts-de-Seine.
Il a été nommé secrétaire d’État à l’enfance en janvier 2019. C’est cette même année qu’il a présenté un plan de lutte contre les violences faites aux enfants.
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