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PHOTO JACQUES BOISSINOT, LA PRESSE CANADIENNE
Le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, propose un crédit d’impôt de 500 $ pour les abonnements au gym.
(Québec) Éric Duhaime insiste sur les saines habitudes de vie durant sa campagne électorale. Le chef du Parti conservateur du Québec a décidé de joindre le geste à la parole lundi en promettant un crédit d’impôt de 500 $ pour un abonnement au gym ou à d’autres sports.
Entraînement avec le champion d’arts martiaux mixtes Georges St-Pierre, montée de l’escalier de la chute Montmorency avec le champion de boxe, Éric Martel-Bahoeli, appui du joueur de hockey professionnel Jonathan Marchessault… Depuis le début de sa campagne électorale, Éric Duhaime s’affiche avec des vedettes du monde du sport.
Il a proposé lundi d’offrir un crédit d’impôt de 500 $ pour les abonnements au gym et à d’autres sports, au centre de CrossFit Quebec City, avant de participer à un entraînement qui l’a laissé tout en sueur.
« Il ne faut pas le voir ça comme une dépense, il faut le voir comme un investissement », a-t-il affirmé sans pouvoir préciser combien d’argent coûterait cette mesure inspirée de celle du gouvernement de Stephen Harper. Il prétend que « chaque dollar que vous mettez dans le sport va rapporter plus de trois dollars en frais de santé que vous n’aurez pas à payer plus tard. »
Le chef conservateur et certains de ses candidats de la région ont ensuite enfilé les box jumps, burpees, poids et de la course.
PHOTO JACQUES BOISSINOT, LA PRESSE CANADIENNE
« Éric, il te reste 15 secondes », l’a rappelé à l’ordre son attaché de presse de 25 ans, Cédric Lapointe, un champion canadien de CrossFit, alors que le chef conservateur commençait à manquer de vigueur durant son entraînement. Cette discipline d’endurance mélange plusieurs sports comme l’haltérophilie, l’athlétisme et la gymnastique.
Cédric Lapointe avait fait les manchettes en 2021 parce qu’il continuait de s’entraîner dans le gym où il était gérant en Outaouais, en contravention avec les règles sanitaires. Le gouvernement avait ordonné leur fermeture pour éviter la propagation de la COVID-19.
La police était intervenue. Le jeune athlète, aujourd’hui âgé de 25 ans, avait fini par aller s’entraîner aux États-Unis pour pouvoir continuer la compétition.
Plus tôt dans la journée, Éric Duhaime a tenu une séance de préparation en prévision de sa première participation au débat des chefs le 22 septembre avant de prendre la route pour la région de Québec. Il a également inauguré le bureau de circonscription de sa candidate Mylène Bouchard dans Montmorency. Un rassemblement avec des militants en soirée doit avoir lieu en soirée.
Aussi bien vous le dire tout de suite : ma tête n’est pas faite sur notre système de scrutin. Je pense spontanément à cette phrase : deux choses peuvent être vraies.
Il était absolument renversant d’entendre, lundi, la nouvelle députée libérale de La Pinière dire avec fougue, comme sa cheffe, que le Parti libéral du Québec (PLQ) était un parti inclusif, le parti de tous les Québécois, etc., etc., etc. C’est un raisonnement complètement déconnecté de la réalité.
« C’est drôle quand même : ma plus belle campagne, c’est celle que je perds », lâche au détour d’une phrase Caroline St-Hilaire, qui a accepté mercredi de revenir sur sa défaite électorale dans Sherbrooke avec La Tribune. Celle qui avait auparavant remporté ses quatre élections fédérales et deux municipales à Longueuil évoque que le vote étudiant — combiné à d’autres facteurs — a pavé la voie pour Québec solidaire dans la circonscription.
(Yamachiche) Au surlendemain d’une défaite historique du Parti libéral du Québec (PLQ), de nouveaux élus de la formation politique et des candidats défaits ont tous fait front commun derrière leur cheffe, Dominique Anglade, qui devra bientôt faire face à un vote de confiance.
( ) Des votes favorables à la Coalition avenir Québec (CAQ) sur tout le territoire, mais des appuis plus régionaux pour les partis de l’opposition. Les résultats du vote de lundi soir confirment le réalignement de la politique québécoise observé depuis 2018, estime le politicologue Éric Montigny.
Au-delà de la réélection du gouvernement Legault, les élections provinciales de 2022 seront l’occasion pour de nouveaux visages, tous partis confondus, de faire leur entrée à l’Assemblée nationale. Qui sont-ils ? Pourquoi ont-ils fait le saut en politique ? Et quelles sont leurs priorités ? La Presse fait le point avec six nouveaux élus.
N’allez pas vous battre dans les autobus, ça ne vaut pas la peine. Peu importe l’intensité des escarmouches, François Legault ne changera pas d’idée⁠1. La réforme du mode de scrutin, à ses yeux, c’est fini.
(Québec) Un gros casse-tête. C’est en ces termes que trois anciens conseillers de Robert Bourassa ont résumé le premier défi auquel fait face François Legault après une réélection écrasante jamais vue depuis 1989 : former un nouveau conseil des ministres. Son dévoilement se ferait dans la semaine du 16 octobre.
L’une des règles les plus élémentaires de mathématiques, la règle de trois, ne s’est pas appliquée, lundi soir, lors du dévoilement des résultats électoraux. La Coalition avenir Québec (CAQ) a obtenu 41 % des votes, mais 72 % des sièges à l’Assemblée nationale. À l’inverse, les conservateurs ont récolté 13 % des votes, mais n’ont fait élire aucun député. Un scrutin proportionnel aurait-il tout réglé ? Voici ce qu’en pensent des experts consultés par La Presse.
(Québec) Les partis ayant échoué à faire élire 12 députés ou à obtenir 20 % des voix devraient pouvoir avoir leur place à l’Assemblée nationale, estime le maire de Québec, Bruno Marchand.
Après avoir encaissé le pire résultat de son histoire en termes de vote populaire, d’importants défis financiers se profilent au Parti libéral du Québec (PLQ). L’ex-ministre des Finances Carlos Leitão lève la main pour participer à la transition, Dominique Anglade s’en remet au parti.
(Ottawa) Le gouvernement québécois a déjà tous les pouvoirs dont il a besoin en matière d’immigration, a argué mardi Pablo Rodriguez, lieutenant québécois de Justin Trudeau.
(Montréal) La cheffe libérale Dominique Anglade se dit prête à collaborer avec le gouvernement et les autres partis politiques, mais ne confirme pas qu’elle soutiendra une entente pour permettre à Québec solidaire (QS) et au Parti québécois (PQ) d’être reconnus comme groupes parlementaires à l’Assemblée nationale.
(Saint-François-de-l’Île-d’Orléans) Après avoir décroché le mandat fort qu’il voulait, François Legault passe à la deuxième étape de son plan : tendre la main à l’opposition et mobiliser les Québécois afin de faire « mousser » sa demande à Ottawa pour obtenir plus de pouvoirs en matière d’immigration et « arrêter le déclin du français ».
(Québec) Au lendemain d’une élection qui n’a pas permis à Québec solidaire (QS) de « conquérir » autant de circonscriptions qu’il le souhaitait, Gabriel Nadeau-Dubois a défendu que son parti a tout de même « résisté » à la vague caquiste, mais qu’il faut plus que jamais rouvrir le débat sur une réforme du mode de scrutin.
(Montréal) Au lendemain de la réélection de la Coalition avenir Québec, les syndicats l’appellent à changer d’attitude et à faire preuve de plus d’« humilité ».
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