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Les investisseurs sur les plateformes de trading sont très majoritairement des hommes crédit photo : Kinga/Shutterstock / Kinga
Sommaire:
Traditionnellement les français investissent peu en Bourse. Selon l’Observatoire de l’épargne européenne (OEE), sur un patrimoine financier moyen de 60.786 euros, 12% seulement étaient investis en actions et fonds d’investissement, dont moins de la moitié en actions en direct (chiffres publiés en mai 2019). Cette moyenne cache d’importantes disparités. Ainsi les hommes sont -ils les principaux utilisateurs des plateformes de trading et quasiment les seuls acheteurs de produits de bourse complexes comme les warrants ou les CFD. A contrario, les femmes sont très peu présentes en Bourse .
Au sein des couples, la répartition des rôles est souvent assez nette. En mars 2018, un sondage a été réalisé avec Opinion Way sur l’organisation des couples en matière de gestion des comptes. Si plus de 60% hommes ou femmes revendiquaient la gestion des comptes, dans la tranche d’âge 25/34 ans, 82% des hommes affirmaient être à la manœuvre en matière de relation avec les banques et de gestion des comptes.
De même l’étude montrait que plus l’homme est âgé, plus il se rend seul aux rendez-vous avec son banquier ou son conseiller financier. Plus généralement et de façon schématique, les hommes ont tendance à s’occuper de la banque, des finances et des investissements et les femmes s’occupent du budget au quotidien. Elles sont les plus économes, les champions du découvert étant les hommes entre 24 et 35 ans.
Les femmes se méfient de la Bourse qu’elles associent à de la spéculation et surtout à un risque élevé de perte en capital. D’ailleurs, elles ne sont pas les seules, même si les Français sont de plus en plus nombreux à investir en Bourse depuis le premier confinement, où une part significative d’entre eux a mis à profit ces moments d’isolement pour s’initier. Ce phénomène perdure. En 2021, 1,6 million de Français ont passé au moins un ordre en bourse, un chiffre en augmentation de 19% par rapport à 2020 selon l’Autorité des Marchés Financiers (AMF). Ce qui retient les autres: l’aversion au risque et la croyance ancrée selon laquelle la Bourse n’est pas le meilleur placement. Les Français, et en particulier les femmes, préférant les supports d’investissements sans risques, comme les livrets bancaires.
Les choix en matière de placement sont loin d’être rationnels. En effet, si la rémunération sur le livret A a été revalorisée à 1% au premier février, ce chiffre reste très faible au regard de l’augmentation de l’inflation: 5, 2 % en mai 2022 selon les chiffres de l’INSEE. En mai dernier une nouvelle revalorisation du Livret A a été refusée. Il est cependant possible que le gouvernement opte pour cette option en aout prochain.
A long terme, le capital placé est grignoté. A contrario, les actions affichent un rendement élevé sur le long terme. Selon les données de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) sur 15 ans entre 2003 et 2018, les actions ont rapporté 6,5% par an.
A court terme, aussi les actions peuvent être intéressantes. Les actions européennes versent un dividende de 3,7% selon une étude d’Allianz Global Investors alors que 60% des obligations offrent actuellement un rendement négatif. Ces instruments sont ainsi indispensables dans le cadre de la constitution d’une épargne de précaution à moyen terme (autour de 5 ans) et surtout à long terme pour se constituer un complément de retraite. En mars 2021, l’AMF rappelait sur son site: «investir en actions, c’est accepter un certain risque mais c’est aussi, sur la durée, un potentiel de rendement intéressant. (…) Les hausses de la Bourse compensent les baisses et les placements en actions, à condition qu’ils soient correctement diversifiés, rapportent plus en moyenne que les placements moins risqués».
Malgré une forte aversion au risque, les femmes doivent ainsi se convaincre que les investissements en actions sont indispensables afin de se constituer un patrimoine sur le long terme. La détention d’actions dans le cadre d’un portefeuille diversifié sur une période minimale de 5 ans s’inscrit (contrairement aux idées reçues) dans une gestion de patrimoine prudente et efficace.
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