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Isabelle et André Apkarian, entourés de quelques employés qui forment la grande famille sans laquelle l’enseigne « Super U » n’aurait pas connu les dernières évolutions. © Photo Sophie Donsey
Chez les Apkarian, le secret de la réussite est très simple. « Une famille soudée pour résister à tous les éléments contraires et profiter des moments de bonheur. » Pour André et Patrick, les fils de Georges, le discours inclut obligatoirement les 160 employés dans la grande famille. « Sans eux, le magasin ne pourrait pas fonctionner et nous n’en serions pas là. Ici, chacun s’appelle par son prénom, ce n’est pas un hasard. »
Et l’objectif de tous est de transmettre la sensation de bien-être aux clients qui fréquentent les allées du « Super U » implanté à « Cap Sainte-Baume ».
Une surface commerciale de 3 400 m2, ouverte depuis dix-huit mois, et dont l’investissement est de 12 millions d’euros.
Malgré cela, il faut d’ores et déjà imaginer un agrandissement. « Nous avons en effet prévu une extension de 800 m2 en empiétant sur nos réserves. Cela va nous permettre d’offrir un meilleur accueil à notre clientèle et surtout d’accroître la fréquentation », avoue Isabelle Apkarian, l’épouse d’André.
Objectif : 4 200 clients par jour
Quotidiennement 3 000 clients passent par les caisses du magasin et l’objectif visé est de « 4 200 clients par jour. Notre zone de chalandise s’étend sans cesse et nous ne cachons pas que conquérir des personnes habitant sur l’Ouest de Brignoles n’est plus inespéré comme cela l’était à une époque ».
Une période pas si lointaine où les Maximinois se rendaient au Lion codec (1972 à 1991), à Champion (1991-2005) et maintenant Super U. Des évolutions nécessaires et en phase avec la croissance démographique autour de la basilique. « Depuis douze ans nous avions ce projet de créer une zone commerciale à l’entrée de la ville. Pourquoi ? Tout simplement pour éviter l’évasion commerciale. Les populations se dirigeaient vers Brignoles ou Aubagne. Ce n’était bon ni pour les commerçants, ni pour la ville. Il fallait agir. » Un pari réussi pour lequel la famille a investi 3 Me supplémentaires.
Une complémentarité indispensable
Isabelle Apkarian répond à l’inquiétude des commerçants du centre-ville, parfois craintifs devant l’expansion de la zone en question. « Nous ne sommes pas concurrents, nous sommes complémentaires et il est indispensable que toutes les catégories de commerces soient présentes sur le territoire. Si nous sommes le moteur qui limite l’évasion, cela aura obligatoirement des retombées positives sur les achats en ville », insiste la belle-fille de celui qui a débuté en ouvrant la supérette « Mistral » dans le centre de Saint-Maximin. Et comme pour prouver que « le soleil brille pour tout le monde », Isabelle Apkarian insiste sur les animations communes « un atout supplémentaire pour une cité qui se veut dynamique ».
Dynamique, il faut l’être par ces temps de crise. Sans être pessimistes, les dirigeants ont noté une baisse « d’un point du panier moyen par rapport à l’année dernière. Aujourd’hui il est de 45 euros ». Mais ce léger manque à gagner sera certainement compensé par la démographie. Pas le temps de se poser des questions donc, mais de se retrousser les manches et de penser aux nouvelles échéances.
L’ambiance / le décor
Le rapport qualité / prix

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