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Le chant des cigales agit-il sur le marché de l’immobilier ? Ce jeudi 5 janvier, la plateforme immobilière Bien’ici a publié les statistiques nationales concernant leur site web. Contrairement à la majorité des régions françaises, la Région Occitanie ne subit pas une forte baisse de la tension de son marché immobilier.
Que retenir concrètement de 2022 sur le marché de l’immobilier sur le plan national ? Le rapport de la plateforme Bien’ici donne quelques indices, en publiant les statistiques de son site web.
Première chose à retenir, il y a eu moins de tension sur le marché de l’immobilier en 2022 qu’en 2021. L’Indicateur de Tension immobilière, qui dresse le rapport entre le nombre d’acheteurs et le nombre de biens à vendre, est en baisse de 6 % sur le plan national.
Mais ne vous y trompez pas, les écarts sont très prononcés entre les régions. Par exemple, la tension sur le marché de l’immobilier a fortement chuté en Île-de-France (-16 %), dans le Pays de la Loire (-22 %), en Aquitaine (-13 %), en Bretagne (-17 %) ou encore en Normandie (-17 %).
La tendance est complètement différente pour les régions du sud-est. La tension est en nette hausse pour la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur (+22 %), ce qui maintient la moyenne nationale à un niveau relatif.
Concernant la région Occitanie, la tension en 2022 sur le site Bien’ici est en baisse de seulement un point. Ce qui, contrairement aux autres régions françaises, démontre une stabilité entre l’offre et le nombre d’acheteurs.
Les villes où les recherches de biens ont le plus augmenté en 2022 sont Agde (+13,9 %), Cannes (+13,6 %) et Antibes (+11,1).
Concernant les locations, la tendance est tout autre. La tension du marché locatif progresse de 68 % en moyenne sur Bien’ici. La Région Occitanie voit la tension de son marché locatif augmenter de 80 %. L’Occitanie est la troisième région ou le marché locatif a le plus augmenté derrière la région PACA (+106 %) et la Corse (+92 %).
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«Une émotion incroyable» résume Christian Prudhomme «on ressent de plus en plus la fierté des gens là où l’on passe et dans le Gard, le public est magique». Au Pont-du-Gard, «c’est un sentiment de privilège incroyable, un honneur pour moi, amoureux du Tour». L’empreinte romaine a conquis les écrans, le public et même les gardois.
Eric Giraudier, en «lanceur d’alerte», terme qui a depuis 2012 une résonance légale, a résolument attaqué la gestion de la CCI en «déni de la dure réalité des chiffres», agitant à nouveau les capes de mise sous tutelle et de cessation de paiement théorique au nom des 4,3 M€ «sanction» ponctionnés par l’Etat et d’un CFA auquel les entreprises gardoises devront contribuer lourdement. Point par point : UPE30 face à la CCI.
C’est une «première» pour l’association des maires du Gard qui se tiendra au parc des expositions d’Alès. «On abordera les préoccupations de développement durable et d’Europe pour les collectivités gardoises» explique Pilar Chaleyssin, maire d’Aubais, présidente de l’association. 64 partenaires sont adossés à la manifestation qui accueillera, les 8 et 9 avril, des ateliers, des conférences, des animations… gratuit pour tous.
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