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L’engagement pris par le président d’Alès Agglomération et premier adjoint au maire d’Alès Christophe RIVENQ, se confirme. Selon l’INSEE, la population de la sous-préfecture a crû de plus de 1 000 habitants, avec 42 867 habitants au 01/01/2020, contre 41 837 habitants en 2019, et même 39 993 en 2014 ! Cette croissance conforte ainsi les objectifs de la révision du PLU adoptée en 2021, avec 10 000 nouveaux alésiens anticipés d’ici 15 ans.
Les principales raisons de cette forte progression sont connues, et liées essentiellement aux politiques publiques et au changement d’image conduits depuis plusieurs mandats sur cette ville moyenne, visant à instaurer une qualité de vie « reconnue » sur cet ancien site minier. Tels les Etats Généraux du Cœur de Ville qui ont transformé l’espace public, l’ANRU 1 qui a changé la physionomie des quartiers Politique de la Ville, le dynamisme de la construction du logement social, un immobilier à coût encore attractif, la performance du secteur économique (baisse sensible du chômage, de 12,2% à la fin 2022 contre 13% à la fin 2021), la diversité du tissu associatif etc.
D’autres communes de la périphérie sont également en hausse, telles Saint-Christol-les Alès, la deuxième ville de l’agglomération avec 7 106 habitants (contre 6 951 en 2017), Saint- Privat-des-Vieux avec 5 272 habitants (5 083 en 2017), ou bien Saint-Martin-de-Valgalgues avec 4 592 habitants (4 325 en 2017).
Au-delà de la ville-centre et de sa périphérie, le Gard, troisième département d’Occitanie, reste positif sur le plan démographique mais « stagne » entre 2014 et 2020 (+0,3%), le bassin alésien faisant trois fois mieux, avec +0,9%, soit un gain de de plus de 5 000 habitants, les arrivées étant nettement plus nombreuses que les départs.
Ainsi Alès Agglomération compte 132 041 habitants au 01/01/2020, ce qui en fait la 90ème agglomération au plan national.
Au-delà des efforts des communes, l’EPCI peut compter sur l’impact positif de la « destination Cévennes », la valorisation des villes moyennes suite à la crise sanitaire, et s’appuie également sur les différents labels obtenus (Réserve Internationale de Ciel Etoilé etc.). 
Gageons que la candidature au concours « capitale française de la culture 2024 » ne fera que conforter cette tendance forte !
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Le «Prix Gaïa pour la sauvegarde de l’environnement en Méditerranée», lancé il y a 3 ans par l’association Med 21 (créée à Rome en 2010 sous l’égide de l’UNESCO, et désormais implantée à Nîmes) a été remis cette année lors de la clôture des Entretiens Nîmes-Alès, le 29 mars. Hayet Bayoudh, maire de Carthage, le Prince Nicolas II de Monténégro et Fadi Comair, du ministère de l’énergie et de l’Eau libanais, étaient aux côtés d’Yvan Lachaud, président de Nîmes Métropole, et du Pr. Mohamed Nadir Aziza, président de Med 21.
Conférences, colloques, rencontres vont mettre en lumière les entreprises scientifiques gardoises et voir comment elles impactent notre quotidien au travers de l’innovation.
C’est une «première» pour l’association des maires du Gard qui se tiendra au parc des expositions d’Alès. «On abordera les préoccupations de développement durable et d’Europe pour les collectivités gardoises» explique Pilar Chaleyssin, maire d’Aubais, présidente de l’association. 64 partenaires sont adossés à la manifestation qui accueillera, les 8 et 9 avril, des ateliers, des conférences, des animations… gratuit pour tous.
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