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Les ventes de biens immobiliers ont augmenté en juillet à Québec, alors qu’elles ont baissé ailleurs dans la province.
Photo : Radio-Canada
Les ventes de propriétés résidentielles ont augmenté à Québec en juillet par rapport à ce qu’elles étaient en juin et l’été dernier. Or, ailleurs dans la province et au pays, la situation est totalement différente.
Le mois dernier, 544 transactions immobilières ont été conclues à Québec. C’est 1 % de plus si on compare avec les données de l’été 2021. Ce nombre est également supérieur à celui constaté en juin. La capitale nationale se démarque.
Le marché de la région métropolitaine de Québec fait partie des rares marchés de la province et du pays à enregistrer une hausse des ventes par rapport à l’année dernière à la même période, commente l'Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).
Daisy Gagnon, de l’agence immobilière Hélène Lauzier, n’est pas surprise.
Afin de trouver la maison de leurs rêves pour ses clients, Daisy Gagnon n’hésite pas à démarcher des propriétaires pour savoir s’ils souhaiteraient vendre.
Photo : Radio-Canada
La stabilité économique de la ville fait en sorte que le marché immobilier s’y porte bien. On a des fonctionnaires, des employés qui ont des emplois stables, les entreprises implantées sont solides. On n’entend pas parler de vastes programmes de licenciements à Québec.
John Fucale, vice-président principal de Multi-Prêts Hypothèques, pousse l’analyse plus loin. Les salaires perçus sont équilibrés par rapport aux prix d’achat de biens immobiliers à Québec, note-t-il.
En clair, celles et ceux qui vivent dans la capitale nationale n’ont pas seulement l’ambition d’accéder à la propriété : ils en ont aussi les moyens. Cela, selon M. Fucale, leur permet d’acheter en ce moment alors que les taux d’emprunt sont réévalués à la hausse.
Québec a toujours été une ville abordable pour ceux qui veulent y acheter un endroit où se loger si on compare les salaires et les prix de vente, indique John Fucale.
Photo : Radio-Canada
Les gens à Québec ont économisé beaucoup plus d’argent au cours des dernières années, vu le coût de la vie ici. Malgré la fluctuation des taux d’intérêt, ils ont la mise de fonds nécessaire et le revenu net nécessaire pour faire leurs paiements hypothécaires régulièrement.
Autre atout : les prix, justement! Certes, ils augmentent comme partout, mais de manière plus modérée.
Québec a toujours été spéciale. Les prix demeurent abordables si on compare avec Montréal ou Gatineau, par exemple, où il y a de grosses hausses du prix médian, souligne Alexandre Dubois, directeur des ventes et courtier immobilier chez Équipe PO Vear-RE/MAX.
Actuellement, acheter une maison unifamiliale à Québec coûte en moyenne 350 000 $. Il y a un an, cela nécessitait 315 000 $.
L’APCIQ admet que la saison estivale marque habituellement le pas avec une activité moins soutenue. Cette année, ce n’est pas le cas. Les courtiers immobiliers se frottent les mains.
Il y a encore beaucoup d’acheteurs. Le téléphone sonne beaucoup, confie Alexandre Dubois.
Alexandre Dubois reconnaît qu’habituellement, la période estivale est le moment de l’année où le marché immobilier à Québec se met en pause. Cette fois-ci, ce n’est pas le cas.
Photo : Radio-Canada
M. Dubois ne s’attend pas à ce que les choses changent dans un avenir proche car, rappelle-t-il, beaucoup de gens qui voulaient vendre en 2020 ou en 2021 ont attendu à cause de la pandémie, et là, ils sont prêts à vendre. L’offre répondra à la demande et inversement.
De son côté, l’APCIQ se montre plus réservée : Cette hausse [de juillet] devra être confirmée en août et en septembre pour parler de tendance.
D'après les informations de Louis-Simon Lapointe
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