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Les charges de copropriété ont grimpé de près de 7%, en 2021, selon une étude la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) du Grand Paris qui a passé au crible près de 104.000 lots (15% du total des lots de copropriété à Paris). Une hausse spectaculaire qui annule tout bonnement la baisse tout aussi forte enregistrée en 2020. Les charges ont ainsi coûté au 1,2 million d’habitants qui vivent en copropriété à Paris, plus de 38 euros par m² (il s’agit du m² assuré qui comprend l’ensemble de l’immeuble y compris les parties communes et les lots annexes) en 2021. Soit plus de 2159 euros par lot (ou 180 euros par mois).
L’envolée des prix de l’énergie (gaz, électricité) est évidemment en cause. Et cela se vérifie dans les chiffres. C’est le poste qui affiche la plus forte augmentation à Paris en 2021: +19,1%. « Il faut s’attendre à une hausse bien plus élevée en 2022 car ce chiffre ne concerne pas toutes les copropriétés dont le contrat, qui arrivait à échéance, a été renégocié à la hausse », prévient Olivier Princivalle, vice-président de la Fnaim du Grand Paris qui précise qu’un tiers des copropriétés sont chauffées en collectif en Île-de-France et environ 20% à Paris et 32% en France .
Autres dépenses en forte hausse: les frais de maintenance notamment pour l’entretien des ascenseurs (+11,1%) ainsi que l’eau (+7,6%). L’électricité et les assurances ne sont également pas en reste (+5,7% chacun). En valeur absolue, ce sont les frais de personnel (gardiens, personnels d’entretien…) qui ont coûté le plus aux copropriétaires parisiens l’année dernière: 568,59 euros par lot (ou 10,15 euros par m² assuré). Loin devant le chauffage et l’eau (voir ci-dessus) . La rémunération du syndic, tant décriée, arrive en 4e position devant la maintenance de l’immeuble.
Malgré la flambée de ces charges, la Fnaim n’a pas constaté de hausse des impayés en 2021. Mais la situation devrait être tout autre pour 2022 et 2023. « Si l’hiver 2022 est rigoureux , beaucoup de copropriétés n’auront pas la trésorerie nécessaire pour faire face au paiement des factures , malgré le bouclier tarifaire pour celles qui en bénéficient car les remboursements sont souvent perçus avec un décalage de 5 mois , affirme Olivier Princivalle. Nous verrons les premiers signes dès mars 2023 avec la régularisation des charges (différence entre le budget prévisionnel et les charges réelles, NDLR)»
Le plus inquiétant, avec l’envolée de ces charges, c’est non seulement qu’elle rogne le pouvoir d’achat des ménages mais qu’elle les empêche de faire les travaux (tous types confondus) nécessaires pour rénover leur logement. En un an, les copropriétés ont déboursé 2,5 milliards d’euros. Un chiffre en chute de près de 12% par rapport à 2020. Et là encore, la Fnaim redoute que la dégringolade se poursuive dans les années à venir. « Avec l’inflation, les travaux vont coûter de plus en plus cher et les copropriétaires risquent de donner priorité au paiement des charges» , reconnaît Olivier Princivalle. Quid de la rénovation énergétique? « Ce n’est pas la priorité des copropriétaires. Les dispositifs sont peu incitatifs. Pour sortir du statut de passoire thermique, des travaux lourds s’imposent. Mais étant donné les contraintes architecturales et la complexité des travaux, sans parler de leur coût, beaucoup de copropriétés parisiennes ne pourront envisager des rénovations globales. »
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TITRE DE L’ ARTICLE erroné: Il n’y a pas de pénurie d’énergie mais une volonté politique de ne plus importer de Gaz et de pétrole russe qui nous coûtent à tous un bras, puisque d’autres pays le font à notre place et nous les refourguent avec une belle marge. Nous sommes les dindons de la farce! Nos politiques s’en foutent, ils ont tous un logement et un véhicule de fonction payé par le contribuable!
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