Par Florent Pecchio
Dans la lignée de la période Covid, et à cause de la forte demande dans les territoires alentour, le marché immobilier à Aix-les-Bains reste à un niveau élevé, sans réelle perspective d’amélioration à court terme.
Toujours plus haut. Que ce soit le niveau des loyers ou les prix de vente des biens, Aix-les-Bains et son bassin de vie se maintient à un niveau très haut, sur le marché de l’immobilier, en cette fin d’année 2022.
Si le constat peut être perçu comme positif en un sens – le territoire est attractif, il représente un vrai casse-tête pour les habitants qui souhaitent déménager, pour trouver un logement plus grand par exemple. Et ceux qui souhaitent venir s’installer ici se retrouvent parfois face à un mur.
« Il y a sur le bassin aixois une très forte demande, et en face, une offre qui s’est raréfiée », résume Yves-Clerc Renaud, expert immobilier basé à Tresserve, référent de la Fnaim (fédération nationale de l’immobilier) sur le bassin d’Aix-les-Bains.
Pour ce qui est des transactions, « il y a une pénurie sur le neuf, donc ça se répercute sur l’existant, explique l’expert. C’est comme pour l’automobile : quand il ne trouve pas de voiture neuve, l’acheteur se tourne ver le marché de l’occasion ». Avec des ventes qui se signent parfois très vite, beaucoup plus que par le passé. « Si un bien est fixé au bon prix, qu’il n’a pas de défaut majeur, il se vend très rapdiement », note Yves-Clerc Renaud.
Ce constat au niveau de stransactions est tout ausis valable sur le marché locatif. Les derniers chiffres publiés par la Fnaim (lire ci-contre) montrent des prix des loyers qui grimpent 4,76 % en moins d’un an, entre décembre 2021 et le 2ème trimestre 2022. C’est une augmentation plus forte qu’à Chambéry (+3,36 %) ou encore Sur les transactions, l’effet Covid, qui a fait flamber la demande à Aix du fait du télétravail, avec des acheteurs en provenance de Lyon ou Paris, semble légèrement s’atténuer. « On assiste quand même, parfois, à des baisses de prix. Disons que juste après le Covid, des biens partaient à n’importe quel prix, parfois jusqu’à 20 % plus cher que l’estimation faite au départ. Aujourd’hui, on ne dépasse pas 5 voire 10 % », estime cet agent immobilier du réseau Capi.
Pour les experts de l’immobilier contactés par l’Essor, il ne faut pas envisager des baisses de prix dans les prochains mois. « Je ne vois pas de raison que ça baisse, malgré le contexte incertain », glisse cet agent immobilier. Pour Yves-Clerc Renaud, il ne faut pas non plus s’attendre à des miracles. « On ne prévoit pas de baisse, peut-être un ralentissement de la hausse », tout au plus.
La question des logements vétustes va se poser toute fois, selon lui, dan sun conetxte de crise énergétoique. « Les gens sont de plus en plus sensibles à ça », et certains biens datant « des années 60 ou 70 », pourriaent voir leurs prix largement revus à la baisse, « au moins de 20 % ». Mais cela signifie que l’acquéreur devra ensuite investir pour remetrte ce bien en état, ce qui n’est pas forcément un bon calcul pour tout le monde.
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