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Les retraits dans les DAB coûtent de plus en plus cher ( Crédits: © momius – stock.adobe.com)
Les retraits dans les DAB coûtent de plus en plus cher ( Crédits: © momius – stock.adobe.com)
Par MoneyVox,
Retirer de l’argent liquide nécessite, dans la quasi-totalité des cas, de posséder une carte bancaire, elle-même très souvent payante. L’utilisation d’espèces n’est donc pas réellement gratuite, d’autant qu’il faut y ajouter d’autres frais : les frais de retraits déplacés, c’est-à-dire les retraits effectués dans le Distributeur Automatique de Billets (DAB) d’une autre banque que la sienne. Une ligne discrète des brochures tarifaires des enseignes qui tend à augmenter depuis plusieurs années. Le point sur les prix pratiqués et les raisons de cette hausse généralisée.
Plus de 90 % des banques facturent des frais à leurs clients lors de retraits déplacés. Une pratique qui est donc très largement majoritaire, à laquelle il faut apporter une nuance : les différentes enseignes tolèrent un certain nombre d’opérations chaque mois, souvent de 2 à 5, pour lesquelles elles ne facturent pas de frais bancaires. Un nombre néanmoins insuffisant pour de nombreux Français, qui voient dans les espèces un moyen de paiement simple d’utilisation et garant de l’anonymat, à l’inverse de la carte bancaire. Mais manque de chance : depuis plusieurs années, les différents établissements facturent ces frais de retraits déplacés de plus en plus cher.
Pour pouvoir livrer des conclusions précises à ce sujet, le site d’information MoneyVox s’est penché sur les brochures tarifaires de 159 banques sur la période allant de 2013 à 2022. Le résultat est sans appel : le prix moyen de chaque opération a légèrement augmenté, passant de 0,90 euro à 0,92 euro, avec un prix plancher de 0,83 euro atteint en 2015. Entre 2019 et 2022, la proportion d’établissements qui a recours à ces frais a aussi grimpé, de 85,9 % à 90 %. Et surtout, le nombre de retraits déplacés gratuits a drastiquement diminué. De 3,95 opérations par mois, ce sont désormais seulement 3,01 retraits déplacés qui ne font pas l’objet de frais bancaires. Une pratique qui a l’avantage d’être discrète, et d’éviter d’augmenter trop fortement la valeur unitaire de chaque retrait de liquide hors réseau.
Lire aussi : Banque : devez-vous rembourser une erreur de versement en votre faveur ?
Plusieurs facteurs expliquent la hausse globale du prix des retraits déplacés. Avant tout, il est nécessaire de revenir sur la notion de retrait déplacé. S’agissant d’opérations effectuées dans un autre réseau bancaire, la banque du porteur de la carte est elle-même tenue de payer des frais à la banque où le retrait a été effectué. Cette Commission Interbancaire de Retrait (CIR) a pour vocation de compenser les coûts engendrés, tels que l’installation et la maintenance du Distributeur Automatique de Billet. Or, cette CIR a été revalorisée en 2020, avec un bond de +56 % de son coût unitaire. Désormais, les banques doivent se reverser 89 centimes par opération.
Dans un même temps, le comportement des Français a changé : la carte bancaire ne cesse de gagner du terrain et de grignoter le nombre d’opérations réalisées avec de l’argent liquide. Avec moins de volume à traiter, les banques rattrapent le manque à gagner par des prix plus élevés, ou des seuils de gratuité plus bas.
Pour éviter de subir la hausse plus ou moins dissimulée des frais de retraits déplacés, il existe toutefois des solutions. La première : privilégier les retraits dans des DAB de votre banque, ou des établissements du groupe. La seconde : changer de domiciliation bancaire en allant vers une enseigne qui ne facture pas de frais bancaires. En dehors des banques privées, réservées à une clientèle patrimoniale, le choix d’une banque en ligne peut alors s’avérer pertinent, la plupart ne facturant pas de frais de retraits déplacés, sans limite de nombre de transactions par mois.
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cesarski, il faut payer si tu retires dans une autre banque que la tienne (qui elle ne détient pas ton argent) et encore après un certain nombre de fois Rappellons aussi que les banques paient aussi sur leurs dépôts car nous aons des taux négatifs pour les gros emprunteurs comme l’Etat.
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