Un espace naturel à découvrir samedi 5 novembre 2022, à travers des spectacles de cirque.
Scopie est une association culturelle installée à Frontignan depuis 2019. Elle propose tout au long de l’année des évènements et ateliers artistiques et culturels gratuits sur le territoire de Sète agglopôle Méditerranée. Scopie propose les Toposcopies : une série d’événements qui invitent à réfléchir ensemble, observer, vivre et ressentir les paysages du territoire.
Répartis en manifestations appelées "situation", les Toposcopies souhaitent valoriser le patrimoine naturel, matériel et immatériel de l'agglomération et mettre en lumière sa nécessaire préservation. La prochaine "situation" de Toposcopie propose de découvrir le paysage de l’étang des Mouettes de Frontignan.
Tournés vers la jeunesse, les Toposcopies invitent des jeunes du territoire à participer à chaque situation. Pour celle-ci, ce sont les jeunes du CLAS de Frontignan qui bénéficieront d’ateliers de cirque avec la compagnie Sans Blague. Ils participeront également à une animation scientifique mênée par l’association Kimiyo. Le samedi 5 novembre, de 15 h 30 à 17 h les jeunes restitueront ce qu’ils ont appris lors d’un événement gratuit et ouvert à toutes et tous.
Programme du 5 novembre 2022  : Spectacle de cirque des participants du CLAS de Frontignan ;  Lecture de paysage ; Découverte de la formation des lagunes et de leur biodiversité – Association Kimiyo ; Spectacle de cirque de la compagnie Sans Blague Goûter
Infos pratiques : pour se rendre à l’événement en voiture : rendez-vous avenue Vauban à Frontigna, parking face à la rue des pêcheurs. En bus : Ligne 16, arrêt Les Mouettes. Toposcopie Situation Étang des Mouettes est proposé par l'association Scopie en partenariat avec la ville de Frontignan et le CPIE Bassin de Thau.
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Justice, Montpellier, Sète
Publié le 17/10/2022 à 21:36
Au tribunal judiciaire de Montpellier, le ministère public requiert 12 mois de prison avec sursis, 144 000 euros d'amende et cinq ans d'inéligibilité contre l'élu. Au cœur de l'affaire, des rémunérations complémentaires jugées illégales perçues par son ancien directeur général des services, à la mairie et à l'Agglopole, Patrice Millet.

"Quand on me présente des arrêtés de rémunération à signer, j’ai six personnes qui ont déjà validé. Ces arrêtés, c'est 5 000 signatures par an entre la ville et l’agglo" explique François Commeinhes, le maire, de Sète, au tribunal correctionnel de Montpellier, où il comparaît ce lundi 17 octobre pour "détournement de fonds publics".

Le procureur : "Mais à partir du moment où vous signez, vous assumez la responsabilité ?"

Le maire : "Bien sûr ! Je suis le maire, c'est moi qui suis responsable de tout ! Mais c'est en m'appuyant sur la confiance et la technicité de mon administration que je peux signer."

"À l'insu de mon plein gré"
Selon l'élu, c'est parce que cette confiance a été trahie par le plus haut niveau de son administration qu'il se retrouve à la barre. Au cœur de l'affaire, des "rémunérations accessoires", accordées par arrêté à Patrice Millet, l'ancien directeur général des services de la ville et de l'Agglopole, entre 2016 et 2019.

Celui-ci a ainsi obtenu des augmentations mensuelles de 1000 euros à 3000 euros en fin de contrat dans des conditions que la Chambre régionale des comptes qualifie d'irrégulières, le conseil municipal n'en ayant pas été saisi. Une hausse de 300 % en trois ans qui fait tiquer le procureur. "N'avait-il pas une mission particulière ?" Le maire opine: "Il avait été recruté avec une mission essentielle, réduire la masse salariale."

"Et vous l'augmentez de 300 % ? " s'étonne le magistrat. "C'était à l'insu de mon plein gré " rétorque l'élu. Le procureur a le dernier mot : "Ou alors, c'était sciemment.
c'est joli mais ce n'est pas l'etang des mouettes

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