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Est-ce la fin du succès des SPAC ? / iStock-Parradee Kietsirikul
Les SPAC sont des véhicules de placement constitués par des actions d’une société sans activité commerciale. Ces entreprises en devenir, sont qualifiées de « coquilles vides ». Elles sont créées dans le seul but de lever des capitaux par le biais d’une introduction en bourse (IPO), et d’acquérir, une – ou plusieurs – société(s) non cotée(s). Dès lors que l’opération est approuvée par les autorités réglementaires, les deux entreprises fusionnent, et celle qui n’était pas cotée le devient. L’investisseur qui place son argent dans une SPAC ne sait donc pas exactement où vont aller ses fonds. Il signe en quelques sortes, un chèque en blanc aux gestionnaires. Ces derniers peuvent réaliser l’acquisition de leur choix, au moment où ils le jugent opportun… La SPAC dispose de deux ans pour réaliser son acquisition sur les marchés. En attendant, les sommes récoltées auprès des investisseurs sont placées sur un compte en banque rémunéré. Faire appel à une SPAC peut être intéressant pour une petite entreprise, souhaitant réaliser une IPO sans en subir les lourdeurs administratives. L’investisseur, quant à lui, diversifie, avec la SPAC, ses classes d’actifs en confiant ses avoirs à des experts dans des domaines spécifiques.
Si les SPAC existent depuis des décennies, elles ont connu un regain d’intérêt phénoménal en 2020 et 2021, avec des entrées en Bourse de start-up vedettes de la Silicon Valley, qui se sont multipliées… Plus de 160 milliards de dollars étaient levés en 2021, soit deux fois plus que l’année précédente. Mais le système a fini par montrer ses limites : environ 50% des entreprises ayant conclu un accord avec une SPAC, durant les deux dernières années, ont vu leurs cours chuter de 40 % ou plus, par rapport aux 10 dollars que cotent habituellement les SPAC à leurs débuts. Par ailleurs de multiples opérations ayant subi des déconvenues ont été très médiatisées. Citons par exemple Beachbody, la startup spécialisée dans le fitness, dont l’action se négocie moins de deux dollars, un an environ après sa fusion ; ou le spécialiste des jets privés Wheels Up Experience, qui cote aujourd’hui moins de quatre dollars. Pour le spécialiste des paris sportifs DraftKings ou la société de tourisme spatial Virgin Galactic, fondée par le milliardaire britannique Richard Branson, les pertes dépassent 60 % par rapport au pic d’il y a un an. Bref, ce type de placement, qui semblait être un moyen de gagner de l’argent d’une façon moderne et accessible, s’est révélé receler de multiples risques ; et certains investisseurs, refroidis, s’en détournent progressivement.
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