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Face à des prix immobiliers toujours en hausse et à la remontée des taux de crédit, les marges de négociation sont à un niveau haut, fin octobre.
En Bourgogne, les marges de négociation pour les maisons anciennes sont de 7,29 %. Photo Adobe stock
En Alsace, les marges de négociation pour les maisons anciennes sont de 6,76 %. Photo Adobe stock
Les acheteurs sont-ils désormais en position de force ? Selon le dernier Baromètre LPI de SeLoger, portail d’annonces immobilières, les marges de négociation dans l’ancien, soit la différence entre le prix de vente affiché d’un bien immobilier et le prix réel auquel le bien est vendu, sont en hausse au mois d’octobre. Pour autant, les prix ne baissent pas.
Les prix des appartements et des maisons progressent de nouveau. Sur l’ensemble du marché, le rythme de la hausse en niveau annuel glissant à fin octobre s’accélère encore dans l’ancien avec + 4,6 % : + 4,1 % pour les maisons et + 4,9 % pour les appartements.
En octobre, l’augmentation des marges de négociation dans l’ancien se poursuit en France, s’établissant à 6,1 % (contre 5,5 % à fin mai), en progression de 46 % sur un an, aussi bien sur le marché des maisons (6,4 %) que sur celui des appartements (5,8 %).
« Il faut remonter au début de l’année 2010 pour retrouver une situation aussi dégradée, d’autant que cette évolution des marges est générale et concerne l’ensemble des régions », souligne SeLoger.
Alors qu’elles sont de 8,93 % dans le Limousin, les marges de négociation en Lorraine pour les maisons anciennes sont de 5,71 % et en Auvergne-Rhône-Alpes (Aura) de 5,58 %.
Les marges de négociation pour les maisons anciennes sont de 6,76 % en Alsace et de 7,29 % en Bourgogne.
En Franche-Comté, elles sont de 5,12 % et en Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca) de 4,91 %, soit la marge la plus faible de France, pour les maisons anciennes.
Alors qu’elles sont de 8,92 % en région Midi-Pyrénées, les marges de négociation pour les appartements anciens sont proches des 5 % ou les dépassent légèrement en Alsace (4,93 %), Paca (5,13 %) et en Aura (5,5 %). Là où les biens à vendre sont rares et la demande est forte.
Elles sont proches des 6 % en Lorraine (5,8 %), Bourgogne (5,89 %) et en Franche-Comté (5,96 %).
Les raisons de la hausse des marges de négociation : les candidats à l’achat doivent négocier plus que par le passé pour boucler un plan de financement acceptable par la banque, indique SeLoger. Les vendeurs, eux, doivent accepter de réduire les prix demandés pour finaliser les transactions.
Pour autant, les révisions de prix ne sont pas synonymes de baisses des prix de l’ancien. Les vendeurs tiennent compte de la situation de pénurie de biens qui caractérise le marché et les prix affichés augmentent toujours rapidement.