l’essentiel La hausse des prix de l'immobilier ralentit partout en France. Ils baissent même à Paris, Lyon et Bordeaux. Pour les professionnels du secteur, c'est notamment à cause d'un accès réduit au crédit et de la hausse des coûts de l'énergie.
Les professionnels de l'immobilier sont formels : la hausse des prix de l'immobilier ralentit en France. Ils baissent même à Paris, Lyon et Bordeaux. Explications.
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Première cause : la remontée rapide des taux d’intérêt et la réglementation française sur le taux d’usure, qui ont réduit l’accès au crédit. « Le moteur du moment qui cale, c’est le crédit », a expliqué Thomas Lefebvre, directeur scientifique de Meilleurs Agents. Il y a "des répercussions sur le marché immobilier, notamment là où il est le plus dépendant du crédit, donc dans les grandes villes".
Tous les professionnels voient s’estomper la ruée vers les maisons individuelles avec jardin, entamée à la sortie des confinements en 2020. "Il y a toujours une surperformance des prix des maisons par rapport aux appartements, mais qui tend à se réduire", analyse Thomas Lefebvre.
Laforêt parle même d’un "retour à la ville", poussé par des familles, des séniors ou des jeunes actifs qui se sont trop éloignés des services ou de l’emploi.
"On avait vu les prix des maisons en environnement rural flamber parce que tout le monde voulait son jardin et sa maison individuelle, mais il n’y avait pas de raison, comme une gare TGV sortie de terre ou un bassin d’emploi qui a fleuri", juge le président de Laforêt, Yann Jéhanno.
La montée des prix de l’énergie et des carburants a aussi, dit-il, pu faire réfléchir des familles : une maison plus grande est plus chère à chauffer et un bien éloigné de la ville augmente la dépendance à la voiture.
Century 21 prédit ainsi que pour calculer les moyens d’un ménage, il faudra bientôt estimer non seulement les mensualités de crédit, les charges et les taxes, mais aussi les coûts de l’énergie et des déplacements. Toutefois, nuance Thomas Lefebvre, « on a toujours des zones rurales qui continuent à surperformer, ce qui s’explique par le fait que les prix restent relativement abordables dans ces territoires-là ».
Lui estime que le retour en ville de familles échaudées par les coûts énergétiques n’est pas un phénomène massif, car ce sont avant tout les ménages modestes qui achètent en périphérie.
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C'est surtout des prix complètement dingues, qui n'ont plus de sens ! Ces prix ont été orchestrés par les agences immobilières elles-mêmes afin d'augmenter leurs commissions ! Ils ont tout simplement tués la poule aux œufs d'or ! Comme lors de la dernière crise ! Ils se sont sabortés eux mêmes ! Quand on voit le niveau de certains, franchement, pas étonnants !
Même les agents les plus intelligents en parlent ! Et sur la côte bretonne par exemple, c'est flagrant ! Les locaux ne peuvent même plus se loger ! Concarneau : un maison avant covid 350 000€, vendue 550 000 il y a un an ! Complètement dingue
Cette hausse bullesque et irrationnelle des prix n'est pas du aux agents immobiliers, qui ne font que suivre les désirs délirants des vendeurs : il suffit de regarder les annonces de vente des particuliers carrément délirantes et le plus souvent bien supérieures à celles des agences…
Ceci étant, les acheteurs ne sont pas tous fous et n'achètent pas a ces prix délirants, et achèteront de moins en moins cher dans les années a venir, car le cycle de baisse qui s'est enclenché n'est pas prêt de s'assurer….. Rappelez vous que le dernier cycle de baisse, de
1992 a1998, a duré 7 ans…
C'est surtout des prix complètement dingues, qui n'ont plus de sens ! Ces prix ont été orchestrés par les agences immobilières elles-mêmes afin d'augmenter leurs commissions ! Ils ont tout simplement tués la poule aux œufs d'or ! Comme lors de la dernière crise ! Ils se sont sabortés eux mêmes ! Quand on voit le niveau de certains, franchement, pas étonnants !
Même les agents les plus intelligents en parlent ! Et sur la côte bretonne par exemple, c'est flagrant ! Les locaux ne peuvent même plus se loger ! Concarneau : un maison avant covid 350 000€, vendue 550 000 il y a un an ! Complètement dingue
L’immobilier c’est comme tout actif il faut être patient cela monte et cela descend mais cela montera toujours car il y aura toujours plus de demandes que d’offres car il y a très peu de construction et la démographie augmente et les gens vivent de plus en plus seul .
L’immobilier n’est pas un actif qui se regarde à la semaine ou à l’année mais sur une décennie.

Sur beaucoup plus qu'une décennie….dans 10 ans les prix seront peut être plus bas qu'actuellement….. vous semblez oublier qu'en 2001 les prix étaient plus bas qu'en 1991

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