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A cause de l'inflation, de nombreuses enseignes doivent choisir entre augmenter leurs prix ou réduire leurs marges et compter sur une abondance de clients pour survivre. (Neshom / Pixabay)
Si l’inflation a fait grimper le prix des courses alimentaires, elle a également alourdi le coût des matières premières pour les restaurateurs. En conséquence, en cette période estivale qui suit deux années de crise sanitaire, de nombreuses enseignes doivent choisir entre augmenter leurs prix, ou réduire leurs marges et compter sur une abondance de clients pour survivre, rapporte Le Parisien .
Selon un sondage de l’Union des métiers et de l’industrie de l’hôtellerie (Umih) réalisé fin juillet, 61% des restaurateurs auraient ainsi choisi de répercuter « partiellement » la hausse des prix sur leur carte. « Les Français comprennent que si le restaurateur achète les produits qu’il prépare plus cher, alors le prix du plat augmente lui aussi pour le client » , a mis en avant Olivia Grégoire, ministre déléguée en charge des PME.
Mais parfois, l’inflation a cependant été jugée trop importante pour garder certains plats à la carte. Jean-François Tastet a par exemple décidé d’abandonner le magret de canard et le foie gras dans ses 13 établissements situés autour du bassin d’Arcachon (Gironde). L’entrecôte de 300 grammes a quant à elle été maintenue, mais son prix a dû passer de 24 à 29 euros. Un pari pour le restaurateur, qui estime que ses tarifs élevés mais « acceptables » ne feront pas fuir sa clientèle, majoritairement touristique.
Mais, hors de ces zones, cette hausse des prix a pu avoir un impact sur le nombre de clients. Pour Jean-Guy, propriétaire de la brasserie Les Bains à Trouville (Calvados), c’est toutefois une affluence record qui lui a permis de maintenir ses pizzas à des prix équivalents.
L’inflation met néanmoins ce restaurateur, comme de nombreux autres, en tension financière. D’autant que le secteur a aussi dû faire face à une pénurie de personnel et à « des salaires en augmentation de 20 % en moyenne » , selon Hubert Jan, président de la branche restauration de l’Umih. La rentrée pourrait ainsi s’avérer particulièrement difficile pour certains établissements.
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