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Investissement non coté, le private equity / iStock-ra2studio
Le private equity (également appelé capital investissement) se distingue d’autres types de placements car il est conçu dans une logique de création de valeur sur le moyen ou long terme. Ainsi, les investisseurs sont plus souples et moins « pressants » avec les entreprises qu’ils accompagnent, que lorsqu’ils deviennent par exemple, actionnaires de sociétés cotées en bourse. L’accompagnement peut se faire à différents stades de croissance de la société. Il porte alors, chaque fois, un nom différent… Si l’on finance le lancement d’une entreprise, on parle : Soit de « capital-amorçage » : l’entreprise n’en est encore qu’à l’état de projet, Soit de « capital-risque » : la société est, dans ce cas, en phase de création, Soit, enfin capital-création, ce qui correspond au lancement effectif de l’activité. Si l’on finance la croissance d’une entreprise, il est alors question de « capital-développement ». L’investissement a vocation, dans ce cas, à donner à l’entreprise, les moyens d’augmenter ses capacités de production et/ou, sa force de vente. Si l’on finance la transmission d’une entreprise, il s’agit de « capital-transmission ». L’investissement, qui prend souvent la forme d’un “Leveraged Buy-Out” (LBO, ou en français, « rachat avec effet de levier »), vise à faciliter la transmission d’une entreprise dans une autre société ou au bénéfice d’une personne physique. Enfin, si l’on finance le redressement d’une entreprise… Dans ce dernier scénario, on parle de « capital-retournement ». Il s’agit alors pour l’investisseur, d’apporter des fonds à une entreprise confrontée à de graves difficultés, afin de l’aider à rétablir sa santé financière. Il est également possible d’investir dans le private equity via des Fonds Commun de Placement à Risques (FCPR). Si le recours aux catégories FIP et FCPI peut parfois être à haut risque (les produits sont composés à 50 % au moins de sociétés non cotées en Bourse) il permet néanmoins de bénéficier des avantages fiscaux qui les caractérisent.
En 2021, le private equity a eu tout particulièrement le vent en poupe. Ce sont ainsi près de 5 milliards d’euros qui ont été investis dans le capital investissement par les Français. Selon France Invest, ce serait presque trois fois plus qu’en 2020… Et la tendance se poursuit. Les experts financiers estiment qu’en dépit de la fragilité de la situation sanitaire, de l’inflation en hausse et des tensions géopolitiques, 2022 reste une année pleine de promesses pour le private equity…Les secteurs les plus prisés par les investisseurs sont ceux de la santé, des télécommunications, des technologies et de la consommation.
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