Les indices de mesures de la qualité de l'air intègrent, à partir de janvier 2021, des indicateurs basés sur des seuils européens et alignés sur les recommandations de l'organisation mondiale de la santé. Principale nouveauté : l'intégration des particules fines dans les calculs. Le visage de l'Occitanie va changer.
La qualité de l'air de la métropole de Toulouse, qualifiée de "bonne" pour 255 jours de l'année 2019, serait "moyenne" pour 231 jours, et passerait de 8 à 39 jours "mauvais". Pour Montpellier : 188 jours "moyens" au lieu de 242 "bons" et 51 jours "mauvais" au lieu de 5. Rien de mieux que des travaux pratiques pour comprendre l'impact des nouveaux indicateurs de mesure de la qualité de l'air, qui entreront en vigueur à partir de janvier 2021.
"On va vers une meilleure transparence de la qualification de la qualité de l'air", a expliqué ce mardi matin Dominique Tilak, directrice générale de l'observatoire régional de la qualité de l'air, l'Atmo Occitanie. Cette mise en conformité avec les seuils européens et les recommandations de l'organisation mondiale de la santé intègre un nouveau polluant au calcul de l'indice quotidien : les particules fines (inférieures à 2,5 micromètres) se rajoutent à la mesure de l'ozone, les dioxydes d'azote et de soufre, les particules inférieures à 10 micromètres.
La grille de lecture de la qualité de l'air s'échelonne désormais de 1 à 6 de "bon" (1) à "extrêmement mauvais" (6), avec "des seuils d'indices abaissés", notamment pour l'ozone, indique Dominique Tilak, qui précise "qu'on ne retrouvera sans doute jamais en Occitanie" le niveau le plus médiocre de qualité. Ce changement ne devrait pas avoir d'impact sur les alertes aux épisodes de pollution en revanche : "On pourra avoir un indice de mauvaise qualité de l'air, sans pour autant être dans un épisode de pollution", précise l'Atmo.
Il est possible de s'informer au quotidien sur l'indice de la qualité de l'air de sa commune, en s'inscrivant auprès de l'Atmo : www.atmo-occitanie.org/inscription-aux-listes-de-diffusion. 
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Il faut interdire les vélos !!
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Essayez de savoir quel est le taux de pollution engendré par la grande chaufferie au bois de quartier installée non loin d'Antigone… Omerta totale sur le sujet.
J'aimerais pas habiter dans le coin, notamment les jours sans vent. Cette chaufferie est l'équivalent journalier de plusieurs centaines de véhicules diesel parcourant chacun des dizaines de milliers de km.
Par contre les diesel n'émettent pas des dioxines indestructibles et du benzène cancérigène comme le fait le bois, même quand il brûle à haute température.

– 40% de la pollution aux particules proviennent des freins et des pneus. Les voitures particulières ne représentent que 30% de la pollution générée par le trafic automobile. Ces particules sont classées parmi les plus dangereuses avec celles du chauffage au bois.

– Les véhicules essence n'étaient pas surveillés. On leur a donné le Critair 1. Ils avaient pourtant adopté le système d'injection directe des diesel. Moralité les véhicules essence en Critair1 non dotés de filtres à particules (c'est récent) émettent jusqu'à 10 fois plus de particules ultrafines que les moteurs diesel de même puissance et époque. Les diesel émettent des NOx, les essence du benzène cancérigène.

– L'hiver, la principale source d'émission de particules reste le chauffage et notamment au bois. Dioxines, benzène, hydrocarbures imbrulés sont le lot de ce type de chauffage. C'est lui qui est responsable de pollution sur nos villages l'hiver.
Lors du dernier confinement, alors que les bagnoles ne roulaient plus, Paris a connu des taux de pollutions élevés.
Le chauffage au bois (subventionné maintenant) était majoritairement à l'origine de cette pollution.

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