Après avoir accueilli cinq cents visiteurs vendredi pour son jour d'ouverture, le quatrième salon de l'immobilier de L'Indépendant et Midi Events a continué ce samedi 18 septembre d'attirer de nombreux futurs propriétaires. Et les retardataires ont encore jusqu'à dimanche soir pour venir au palais des congrès construire la maison de leurs rêves.  
Érigée sur cent mètres carrés autour d'une grande pièce de vie et de trois chambres, en 2022 la maison idéale d'après Covid sera également connectée et extrêmement peu énergivore car dotée de panneaux solaires qui permettent de diviser la facture d'électricité par deux. Elle bénéficiera aussi d'un terrain à aménager plus tard d'une terrasse avec cuisine d'été et d'une piscine. Le tout, hors options et terrain pour un coût moyen, s'accordent les maîtres d'œuvre et constructeurs présents ce week-end au salon de l'Immobilier, qui avoisine les 120 000 euros. "C'est un prix stable depuis quelques années malgré l'augmentation des tarifs des matériaux comme l'acier qui a pris 40% de hausse, et l'amélioration sans cesse renforcée des performances énergétiques", soulignent Alexandre Martin et Mickaël Martinez d'Accès Habitat.
Pour éviter d'impacter financièrement le client d'une construction individuelle, les deux cogérants au carnet de commandes bien rempli négocient directement avec les industriels. "On réalise du sol au plafond, et jusqu'à la déco si besoin, une centaine de résidences par an sur le département, on n'a jamais eu autant de demandes que depuis la crise sanitaire", se réjouissent les professionnels obligés de s'adapter à l'offre des terrains aussi rares qu'onéreux. "Parfois, on trouve des surfaces plus chères que le bâti !", ironisent les maîtres d'œuvre qui n'hésitent plus à élargir leur zone d'action. "Avant, la majorité des souhaits des futurs propriétaires confluaient autour de la première couronne de Perpignan, désormais on va facilement jusqu'à Vinça, Marquixanes,Tautavel et ça se vend, les gens se déplacent", assurent-ils ravis. 
"De toute façon, chaque matin quelqu'un se lève en se disant qu'il veut devenir propriétaire ! Et comme aujourd'hui faire construire revient mois cher que d'acheter de l'ancien, on cherche de la place là où il y en a et on se rend compte que les acquéreurs sont finalement prêts à faire des kilomètres pour habiter l'endroit de leurs rêves", constate également Jocelyne Leal, commerciale chez Maison Marcou.
L'entreprise fête cette année ces 70 ans d'existence, des milliers de constructions neuves "et pas le moindre procès", se félicite Jean-Dominique Reyes, son collègue de vente. Un argument de poids pour les visiteurs qui arpentent les allées du salon avec leur dessein en tête. "Ils ne sont pas ici pour se promener mais pour trouver le professionnel de confiance qui va les accompagner jusqu'au bout de leur idéal, du premier coup de pelle à la remise des clés", assure Jocelyne Leal. À l’instar d'Alexandre Martin et des autres participants, elle sait qu'aujourd'hui comme hier et demain, elle ne signera pas de contrat. "Mais on signe des rendez-vous et c'est ce premier pas qui compte car il ouvre la porte aux projets les plus aboutis." 
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Plusieurs procès en cours sur cette société est les deux gérants, ni constructeurs de maison individuelle ni maître d’œuvre elle comporte comme des économistes de la construction sans aucune garantie pour le client , l’indépendant devrait vérifier avant de faire de la publicité.
Quelle honte de leur faire de la pub ! C'est un fléau pour le département, des constructions en masse, mauvaise qualité…. Du béton partout…
"De toute façon, chaque matin quelqu'un se lève en se disant qu'il veut devenir propriétaire !
dicton entendu en 2006 dans l'immobilier: tout les matins un pigeon se lève

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