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L’histoire a commencé il y a un peu plus d’un an pour Sandrine Escutnaire, 41 ans. Fonctionnaire, elle travaillait dans l’aide à la personne. Elle a décidé de changer d’orientation. Les pâtes apparaissent comme une évidence. « J’ai toujours aimé la cuisine, j’ai des origines italiennes et je suis très attachée à mon territoire, d’où l’idée de travailler des produits locaux », explique Sandrine.
Après de gros investissements dans un véhicule, des travaux et des machines, elle se lance. Chaque semaine, Sandrine consacre trois jours et parfois quelques débuts de nuits à la fabrication.
Sandrine Escutnaire veut que La Patière devienne une véritable marque de terroir. Pour cela, elle mise sur les producteurs locaux. « La viande, les légumes et le fromage frais viennent exclusivement d’un périmètre de 2 km autour du labo. Les œufs de Revel-Tourdan en Isère. C’est une question de quantité. J’utilise quand même 200 œufs par semaine. » La farine de blé dur vient de Rhône-Alpes, impossible de la trouver dans le Pilat. « Mais la plupart du temps elle vient d’Italie, donc j’ai fait au plus près ! »
Si elle ne peut plus investir aujourd’hui, elle a choisi de lancer une campagne de financement participatif sur la plateforme kisskissbankbank pour acheter de nouvelles machines.
> Plus d’informations dans nos éditions payantes du dimanche 26 novembre 
Petits secrets de fabrication des pâtes artisanales
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