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La découverte d’un cas de brucellose, le 20 octobre dernier, dans une exploitation laitière de Haute-Savoie n’en finit pas de susciter des réactions. Révolté par la décision de la préfecture d’abattre l’ensemble des 220 vaches du troupeau pour conserver le statut d’ « indemne de brucellose » , un collectif s’est formé pour éviter cette issue fatale. « Il regroupe des proches et amis de la famille, des éleveurs, mais aussi des vétérinaires et d’autres personnes qui ont souhaité apporter leur soutien à l’éleveur », précise un de ses membres. Leur nom est sans équivoque : “Sauvons les vaches de Saint-Laurent”. Le 18 décembre, ses membres ont mis en ligne une pétition adressée au préfet Alain Espinasse et au ministre de l’Agriculture Julien Denormandie, leur demandant « de faire le nécessaire pour que ce massacre n’ait pas lieu ».
« La famille d’éleveurs, qui s’occupe de ce troupeau depuis plus de 40 ans, devrait se résigner à faire tuer ses animaux sains, en raison d’une réglementation d’un autre temps ? », s’insurge le collectif dans sa pétition. Au-delà du drame humain, ils dénoncent aussi une décision qui va à l’encontre de la loi du 18 novembre 2021 sur le bien-être animal : « C’est un troupeau entier, de vaches, génisses et veaux qui s‘apprête à partir pour l’abattoir d’ici quelques jours, dans le seul but de maintenir le statut de la France vis-à-vis de la brucellose. »
Depuis son lancement, la pétition a reçu de nombreux soutiens. En à peine 24 heures, elle atteignait déjà les 5 000 signatures. Ce lundi 20 décembre, à la mi-journée, elle en totalisait plus de 8 700. Un chiffre qui continue depuis d’augmenter. Ce mardi, à 16h, la pétition dépassait les 65 500 signatures.
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